mercredi 13 novembre 2019

20-21 août 1940 : Staline faisait assassiner Trotsky (une sélection d'articles de Lutte Ouvriere)

En assassinant #Trotsky, #Staline ne réglait pas une rivalité personnelle, mais s'efforçait de tuer l'idée même du communisme révolutionnaire et de l'#internationalisme. Aujourd'hui, alors que le capitalisme en crise démontre sa complète faillite, il est important de rappeler que les idées de la révolution, les idées du #communisme que nous a léguées Trotsky existent toujours.

L'avenir de l'humanité ne peut appartenir à ce système barbare qu'est le #capitalisme, fait d'injustice, de famine, de misère et d'obscurantisme. Il appartient au communisme.

20 août 1940 : Trotsky mourrait assassiné par Staline (18 août 1970)

https://imagizer.imageshack.com/img923/5011/uqRscC.png

https://imagizer.imageshack.com/img923/4303/YRaLSI.png

Août 1940 : Trotsky était assassiné sur ordre de Staline (24 août 1990)

- 1) Internationalisme bolchevik et sa négation stalinienne
https://imagizer.imageshack.com/img923/375/PV05ai.png

https://imagizer.imageshack.com/img923/8401/aNVvoI.png
 
- 2) 50 ans avant Gorbatchev, en faisant assassiner Trotsky, Staline essayait d'assassiner le communisme
 https://imagizer.imageshack.com/img921/9134/yyWY1w.png

 Août 1940 : Staline faisait assassiner Trotsky (25 août 2000)

En août 1940, Staline faisait assassiner Trotsky... mais les idées de Trotsky sont toujours vivantes ! (20 août 2010)

mardi 30 avril 2019

:: Circulaire de campagne (Lutte Ouvrière, élections européennes 2019)

Circulaire de campagne

(cliquez sur les images pour accéder au pdf)

:: Brochure LO : "Contre le grand capital, le camp des travailleurs" (élections européennes 2019)


Brochure LO Européennes 2019Sommaire de la brochure LO Européennes 2019
    • Contre la domination du grand capital (2)
    • Salariés ou retraités, embauchés, précaires ou au chômage, vous tous qui vivez de votre travail, exprimez vos exigences ! (3)
    • Augmentations massives des salaires, des pensions et des allocations Indexation de leur montant sur la hausse des prix (5)
    • Interdiction des licenciements (7)
    •  Imposer le contrôle des travailleurs sur la marche des entreprises (8)
    • Plus que Macron, combattre le système capitaliste 9Un système économique en faillite (11)
    • Engager le combat contre la classe capitaliste (12)
    • Le rôle déterminant des travailleurs (13)
    • Les élections européennes : une occasion d’affirmer nos intérêts de classe 16 
    • L’Union européenne (17)
    • Quitter l’Union Européenne pour retrouver de la souveraineté ? Une diversion et un mensonge (18)
    • Il faut renverser le capitalisme (19)
    • La nécessité d’un parti révolutionnaire (21)
    • L’émancipation des travailleurs sera l’œuvre des travailleurs eux-mêmes (22) 
    • Fiscalité : « L’impôt saigne le malheureux » (26)
    • Le protectionnisme ne protège pas les travailleurs (27)
    • La mondialisation, base économique du communisme (29)
    • Contre l’oppression des femmes (30)
    • Migrants : des travailleurs qui doivent avoir le droit de circuler et de s’installer pour gagner leur pain (31)
    • Le terrorisme, produit de l’ordre capitaliste mondial (33)
    • Écologie : la véritable menace contre l’environnement et la planète, c’est le capitalisme (34)

La brochure sur Twitter

dimanche 30 décembre 2018

:: « Les morts se mettent enfin à parler » (Sibérie, documents cachés de militants trotskystes soviétiques dans les années 1930)


  1. 1ère brochure : Tactiques et tâches de l'opposition léniniste 
  2. 2ème brochure : La situation dans le pays et les tâches des bolcheviks-léninistes
--------------------------------------

Russie : « Les morts se mettent enfin à parler »

(LO, 20 Juin 2018)

C’est sous ce titre qu’un quotidien russe des milieux d’affaires, Kommersant, vient d’annoncer une découverte extraordinaire. À Verkhneouralsk, dans la région séparant la Russie d’Europe de la Sibérie, les ouvriers chargés de faire des travaux dans une prison y ont mis au jour une série de documents que des militants trotskystes soviétiques avaient cachés, sous le plancher de leur cellule, dans les années 1930.

Dans cette cache on a retrouvé quarante-six documents et brochures. Tout cela écrit à la main, composé avec très peu de moyens dans un format très petit pour pouvoir être caché, et transmis. Il s’agissait de les faire passer d’un isolateur à un autre – du nom des prisons à régime renforcé où la dictature stalinienne enfermait des milliers de bolcheviks-léninistes, comme s’appelaient eux-mêmes les trotskystes – ou à l’extérieur, à des militants de l’Opposition de gauche alors encore en liberté pour peu de temps.

Dépouiller et publier tous ces documents pourrait prendre deux ans, et seule une volumineuse brochure, écrite en 1932 ou 1933 à Verkhneouralsk, a pour le moment paru sur le site de Kommersant. Elle s’intitule La situation dans le pays et les tâches des bolcheviks-léninistes. On y voit ces militants, emprisonnés depuis des années, épiés, privés de tout, de plus en plus coupés de l’extérieur et de leurs camarades – tel Trotsky que Staline avait expulsé d’Union soviétique en espérant le neutraliser – retrouver les mots, les analyses de Trotsky. Par exemple quand ils défendent l’avenir de l’État ouvrier né d’Octobre 1917, avenir que compromettent la gabegie bureaucratique, l’impréparation et la brutalité de la collectivisation stalinienne…

Alors que la classe ouvrière soviétique se trouvait sous la botte du stalinisme, qu’à l’étranger les partis sociaux-démocrates et staliniens cherchaient, chacun à sa façon, à éviter que la classe ouvrière reparte à l’assaut du pouvoir, et alors qu’en URSS nombre d’anciens opposants à Staline avaient capitulé, ces militants trotskystes ne baissaient pas les bras.

Même dans les pires conditions, ils restaient décidés à combattre à la fois le stalinisme, la bureaucratie et la domination de la bourgeoisie mondiale. Cela sous leur drapeau : celui du pouvoir de la classe ouvrière, celui de la fidélité au léninisme, à la révolution d’Octobre 1917 et à la révolution mondiale.

Staline et ses sbires se préparaient à liquider le parti de Lénine dans les procès de Moscou et à faire fusiller à la mitrailleuse, faute d’avoir pu les briser, des milliers de trotskystes regroupés dans les camps de Vorkouta, dans le Grand Nord, et de la Kolyma, dans l’Extrême-Orient sibérien. Cependant, les militants de Verkhneouralsk dont on retrouve quatre-vingt cinq ans après les écrits et la preuve de leur activité, cherchaient à maintenir jusqu’au bout le flambeau.

On voit réapparaître les noms de quelques-uns de ces militants qui allaient périr : Mikhaïl Bodrov, entré dans l’Armée rouge à dix-sept ans, fusillé à trente-cinq ans ; Gdali Milman, komsomol devenu trotskyste, fusillé à trente-et-un ans ; Barkine ; Melnaïs, etc.

Lutte ouvrière veut s’inscrire dans le fil de cette tradition communiste révolutionnaire, de la fidélité à la classe ouvrière que seul le trotskysme a su incarner au travers de ses militants, comme ceux de Verkhneouralsk, une politique authentiquement communiste, ouvrière, internationaliste, qu’ils ont défendue sous le stalinisme, quand il était « minuit dans le siècle ».

C’est en prenant exemple sur ce qu’ils ont été et en reprenant les idées du trotskysme qu’aujourd’hui, en France comme partout, les nouvelles générations pourront aller de l’avant dans la lutte pour un monde débarrassé de l’exploitation et du capitalisme.

P. L.

-----------------------------------------------
1ère brochure (trad. automatique) a écrit :
Tactiques et tâches de l'opposition léniniste


1. Le rôle historique et les tâches de l'opposition léniniste dans le mouvement syndical international

1. L' opposition léniniste est avant tout une tendance internationale. Son émergence et son développement sont enracinés dans des changements profonds de toute la situation internationale qui a suivi la défaite de la première vague de la révolution européenne en 21-23.

La soi-disant stabilisation du capitalisme a entraîné le renforcement des positions du réformisme social dans la classe ouvrière, le déclin du mouvement communiste mondial et le renforcement des éléments centrés sur le droit dans ses rangs. L'aile gauche léniniste du Komintern a subi un certain nombre de défaites, jusqu'à ce que finalement elle ait été formellement livrée à l'extérieur par K. Et

La défaite de l'aile gauche du communisme était l'achèvement du changement qui avait eu lieu dans les relations mondiales. Cependant, cette défaite n'a pas entraîné la liquidation du mouvement d'opposition.

Les contradictions de l'économie mondiale sapèrent régulièrement la «stabilisation», provoquant des avancées partielles de la lutte de classe prolétarienne, sur la vague de laquelle l'aile gauche fut renforcée et reçut de nouvelles sources de vie.

2. L' époque parfaite contient en soi les plus grandes possibilités révolutionnaires. D'où le besoin brûlant d'un parti mondial du communisme. La conquête du Komintern, sa transformation en l'instrument principal de la révolution prolétarienne mondiale, est la tâche principale de l'opposition communiste de gauche internationale.

Dans sa lutte pour la restauration de V.K.P. et K.I. opposition b / l. Il se concentre sur la profonde réforme de ces organisations, à travers le changement de leur leadership opportuniste.

À cette fin, l'opposition crée une base idéologique et organisationnelle pour les éléments prolétariens de gauche du mouvement communiste international.

Seule l'accomplissement de cette tâche à ce stade prépare l'occasion à l'étape suivante de gagner les ouvriers communistes du côté de la politique de Lénine et de faire du Komintern l'avant-garde du prolétariat révolutionnaire international sur une base plus élevée.

II. Les principales étapes du développement de la pratique de l'opposition léniniste.

A) du 23 au 14 octobre Congrès du Parti communiste de l'Union.

1) La première étape du mouvement d'opposition était une réaction spontanée des masses du Parti contre la bureaucratisation du parti qui avait commencé, qui était la principale forme de pression sur le premier élément petit-bourgeois.

Les erreurs de la direction du parti dans la politique économique, qui ont eu un fort impact sur la position matérielle des masses ouvrières et l'échec de la tactique du Komintern en Allemagne, ont provoqué un mécontentement ouvert dans les rangs du parti.

2) La tactique de l'opposition durant cette période était de formaliser idéologiquement ce mécontentement et d'indiquer les raisons qui ont provoqué les erreurs de la direction.

Cependant, l'opposition n'a pas pu remplir pleinement ce rôle, car elle-même (dans la personne de sa direction) ne réalisait pas assez clairement que le désengagement qui avait commencé dans le parti allait devenir le point de départ d'une nouvelle lutte interne, ce qui signifierait une division profonde du parti selon deux points de vue.

3. La déclaration du 46e et le "nouveau cours" - les principaux documents de l'opposition de l'époque - reflétaient une certaine incohérence, principalement dans l'analyse de la politique économique. et sa signification sociale, ainsi que le sens politique des désaccords intra-partis.

Cette erreur de la direction de l'opposition s'est accompagnée d'une autre erreur, en matière d'organisation. L'irrégularité organisationnelle de l'opposition en 23e année était l'une des raisons de sa défaite à Moscou, malgré le fait qu'elle avait une nette majorité dans les rangs de l'organisation moscovite.

4. La raison objective de toutes ces erreurs tactiques était enracinée dans le sous-développement pendant cette période de contradictions de classe dans le pays, et donc dans l'arriéré de la conscience de parti des tâches mises en avant par le cours des événements.

Ceci explique aussi le fait que le mouvement d'opposition était presque complètement liquidé jusqu'au XIVe Congrès.

B) du XIV au XV Congrès.



1) Au moment du XIVe Congrès, les principales tendances de classe des différences intra-partis étaient très claires. D'autre part, le bloc centriste de droite a été formé - les éléments centristes de gauche qui ont mené les mouvements d'opposition du prolétariat de Leningrad.

La tâche tactique principale de l'opposition pendant 23 ans dans cette période était de conclure un bloc avec l'opposition de Leningrad, mais en conservant son indépendance idéologique, progressivement à l'hégémonie dans ce bloc.

Cette tâche a été complètement accomplie par l'opposition, comme en témoignent ses principaux documents de l'époque: 1) la déclaration de 23 ans, 2) la déclaration de la 83e, 3) la plate-forme du 13.

2. Dans la lutte contre le bloc centriste-droit, l'opposition unie a traversé trois étapes principales dans sa tactique: 1) la période de travail préparatoire souterrain. Venir à la création de la faction et son design idéologique et organisationnel, puis sur cette base à une offensive ouverte décisive sous la forme d'un "siège" de "matériel bastille" (dispositif Avio, usine Putilov, etc.)

2) Les leçons de la première période montraient l'insuffisance de cette forme de lutte, l'énorme force des préjugés dans les masses laborieuses et la nécessité de passer à une nouvelle forme de lutte plus compréhensible pour les masses et conçue pour une explication lente, persistante et systématique de leurs opinions.

La défaite du 16 et 26 octobre a ouvert la retraite de l'opposition sur la base de la lutte des factions clandestines et du déplacement du centre de gravité vers le travail légal. 15ème Conférence, Plénum de l'ECCI, Réunion plénière de février Ce sont les étapes de cette nouvelle tactique. Pendant cette période, le groupe de D.T. s'éloigna de l'opposition, qui ne comprenait pas le besoin de nouvelles formes de lutte, sans l'utilisation desquelles il était impossible de préparer les conditions d'une nouvelle offensive.

3. La tactique de la retraite et des discours juridiques ouverts se justifie pleinement en ce moment où les désaccords passionnés sur la révolution chinoise rendent la lutte et la transition à l'offensive inévitables. En raison de son travail juridique, l'opposition a réussi à obtenir un fort soutien politique du parti pendant cette période.

La nouvelle tactique de l'offensive, dans la période du 27 au 15 avril, combinait des méthodes de lutte légales et semi-légales et se développait ainsi à un niveau plus élevé que la lutte du 26. Une vaste salle de pétitions, des arcs, des manifestations - ainsi que l'intensification du travail souterrain des factions - étaient des indicateurs de la grande ampleur de la lutte et de la large couverture des masses.

B) du XVe Congrès à la session plénière de novembre de l'année 28

1) la capitulation des centristes-zinovievistes gauchistes et la crise aiguë du bloc centré sur la droite sur la base du Bundle des koulaks, qui a porté un coup décisif aux illusions de la période de restauration, ont créé un nouvel alignement des forces dans le pays et le parti.

Le glissement de gauche dans la politique centriste était l'expression de ce nouveau développement et mettait l'opposition devant de nouvelles tâches. «Le centrisme», dit le camarade Trotsky, évaluant les perspectives de l'après-Congrès, l'empirisme, mais aussi les masses dans la lutte acquièrent leur propre expérience. C'est tout notre calcul "(" A une nouvelle étape ")

Le renouveau de la classe ouvrière et le renforcement des éléments de gauche dans le parti créent des conditions favorables au mouvement d'opposition. Le demi-heartedness du centrisme, son intermittence, et les fluctuations qui se manifestaient dans une forme si claire aux plénums d'avril et de juillet de 28, ont exposé de plus en plus son incapacité à faire face à de nouveaux dangers.

2. Après avoir proclamé sa principale tâche tactique pour soutenir le centrisme de gauche sous la forme de la critique, afin de discréditer la direction centriste - l'opposition sur cette base tactique a trouvé un lien avec le parti. les masses, a remporté l'initiative dans la lutte contre les droits et est allé à l'offensive.

La compagnie collégiale de 28 ans était le point culminant du mouvement offensif de l'opposition. Sous la puissante pression de ses centristes ont été contraints d'entrer dans une lutte avec la droite, mais l'opposition n'a pas eu assez de forces pour réformer le parti et changer la direction centriste.

D) Du 28 novembre à aujourd'hui.

1. Malgré le fait que la direction centriste a conservé tous ses désaccords stratégiques avec l'opposition et laissé les parties intactes. régime et méthodes bureaucratiques. Construction - il "sortit les slogans de notre arsenal" (Tr.) Et s'engagea sur la voie de la lutte administrative avec les koulaks et la pompe administrative des kolkhoz et industrialisations, inspirant à la classe ouvrière et au parti des illusions non révolutionnaires sur la possibilité d'une solution à court terme aux contradictions.

2. Une tournure radicale de la situation obligea l'opposition à changer de tactique, déplaçant son travail sur les rails - une explication persistante et systématique par les masses de l'incapacité du centrisme à sortir la classe ouvrière et la dictature prolétarienne du bourbier dans lequel elle conduisait le pays.

L'expression de cette nouvelle tactique était une déclaration du 4 octobre. 29, la tâche tactique principale de cette période était la création d'un front uni par rapport aux masses embrassées par les illusions du plan quinquennal. Analysant la situation, la déclaration met en garde que "le plan quinquennal centriste, conduit par des méthodes rejetées par la Révolution d'Octobre, ne conduit pas au développement mais à une réduction des forces productives et non à une détérioration de la position matérielle, politique et culturelle de la classe ouvrière.

3. La transition de la direction centriste à la voie de l'U.-L. aventures et la première retraite qui a suivi 15 / III - a révélé toutes les bases et l'aventurisme de la politique centriste. A cette époque, il y avait aussi un début de départ de la faction principale des gauchistes centristes d'une nouvelle formation (Lominad)

Dans l'opposition a commencé le déclin des illusions centristes parmi les masses et a permis à l'opposition de commencer les préparatifs pour une nouvelle tactique offensive, proposant un nouveau slogan pour un changement de direction, qui pourrait être une conclusion de l'expérience des masses.

Les documents «4 et 7», pour la première fois dans les nouvelles conditions, formulaient les principales différences. La carte d'août du camarade Trotsky, qui donnait la formulation la plus précise des nouvelles tactiques de l'offensive et de ses principales tâches, était l'expression d'une nouvelle tactique offensive.

E) les principales leçons de notre lutte

Jetant un regard rétrospectif sur les étapes de sa lutte, l'opposition léniniste doit sobrement prendre en compte les erreurs commises par elle, afin d'éviter leur récidive dans le futur. Nous ne mentionnons ici que les plus importants d'entre eux.

Dès le début de la lutte, l'opposition n'était pas consciente de la gravité des différences qui séparaient la faction dominante et de la force des influences de classe que déterminent ces différences.

La sous-estimation du travail organisationnel était également liée à ceci, exprimé dans le fait que les conditions les plus favorables pour la création de l'organisation illégale correcte, orientée son travail pour une longue période de l'underground, ont été manqués. Le résultat des erreurs est le décalage entre les demandes présentées par la vie politique et les capacités organisationnelles disponibles, un écart qui affecte si douloureusement le travail de masse qui ne correspond pas à sa signification idéologique et politique potentielle. Un autre inconvénient non moins sérieux de notre travail réside dans les concessions faites aux compagnons de lutte temporaires, souvent admis dans une large mesure par rapport aux intérêts de l'ensemble du mouvement dans son ensemble. En conséquence, nos rangs diligents et notre leadership affaiblissant, ces éléments (la partie principale de la tendance centriste de gauche) à des moments critiques minèrent les fondements idéologiques et les forces organisationnelles de notre mouvement, et créèrent de profondes crises internes. L'influence des compagnons de voyage a sans aucun doute affecté la ligne tactique de l'opposition dans la direction que le camarade Trotsky a estimée était que "nos erreurs ont toujours été beaucoup plus d'erreurs dans la loi qu'à gauche de la ligne correcte". Ayant seulement éclairci dans le processus de plusieurs des processus qu'elle a vécus des éléments les plus nuisibles du centrisme de gauche, l'opposition léniniste a pu clairement orienter sa tactique vers une lutte inconciliable contre le centrisme.

III. Nos tâches en relation avec les principes fondamentaux de la tactique léniniste.

La principale tâche de l'opposition en ce moment est d'organiser une lutte prolétarienne pour la réforme du parti, des syndicats, de l'Etat, sur la base de la démocratie de travail, et aussi pour la correction de la ligne stratégique du parti et son transfert aux rails Lénine.

Cette tâche ne peut être accomplie qu'en mobilisant toutes les forces révolutionnaires du Parti et de la classe ouvrière autour de l'opposition léniniste.

Les conditions qui se sont développées jusqu'à présent - une crise économique et politique de plus en plus profonde avec le pays - provoquent une augmentation du mécontentement dans toutes les classes. Dans cette situation, qui élargit indubitablement notre base dans la classe ouvrière, bien que le danger des actions contre-révolutionnaires des classes ennemies augmente également en même temps. - notre ligne tactique devrait s'exprimer dans une offensive politique sur la base d'un travail organisationnel profond parmi les masses.

"La seule possibilité, dit le camarade Trotsky, de préserver et d'augmenter les chances d'une voie de développement réformiste pour la Révolution d'Octobre et le Parti est de créer une organisation centralisée fonctionnant correctement avec des moyens techniques suffisants pour influencer systématiquement l'opinion publique dispersée". / VIII-30)

La principale qualité de l'opposition léniniste devrait être la capacité de changer radicalement de tactique, de rééquiper et d'appliquer de nouvelles méthodes de lutte, en d'autres termes - à une politique de virages serrés. Dans les périodes de bouleversement politique des masses et d'intensification de l'assaut des classes hostiles, elle doit appliquer la tactique d'une offensive résolue et courageuse: pendant les périodes de déclin politique dans l'esprit des masses, elle doit passer aux tactiques défensives-escomptantes. ligne tactique est la plus grande activité dans la lutte pour l'influence sur les masses. Prenant la tête de compromis et d'accords forcés, elle ne doit jamais laisser la moindre place à un adversaire ou à un allié peu fiable en matière de principe.

Une analyse politique approfondie et des évaluations sobres de la réalité ont toujours aidé l'opposition à identifier correctement les tactiques, en choisissant entre l'offensive et la défense, en fonction de la situation objective. Par conséquent, il était toujours étranger à l'aventurisme et a été conçu uniquement pour la croissance de la conscience des masses.

Seule une profonde dérivation des slogans spécifiques du moment à partir des lignes directrices générales du programme, de l'observation extraterrestre conservatrice et de la simple répétition non critique des vieux slogans, peut fournir une opposition. Béni. correspondant aux objectifs de tactiques efficaces.

IV. Lutte pour les masses.

Depuis la révolution d'Octobre, il n'y a pas eu de tels changements dans la position de notre prolétariat, qui aurait agi dans le sens de l'élimination de son ancien rôle révolutionnaire. Au contraire, pendant ce temps, il a grandi encore plus significativement dans les relations politiques et culturelles.

Malgré le déclin profond du bien-être politique de la classe ouvrière, sa passivité, la fatigue dans les années qui ont suivi la fin de la guerre civile, la susceptibilité de certaines de ses couches à l'influence des petits bourgeois. les préjugés venant du village et délibérément livrés à lui par la bureaucratie - nous avons eu à plusieurs reprises l'occasion d'observer la manifestation, et dans un sourd, de la résistance profonde de la classe ouvrière au cours thermidorien. Et cela nous permet de calculer que maintenant, alors que la nocivité de ces illusions nuisibles diminuait rapidement, tous les assauts des classes hostiles peuvent à nouveau créer un nouveau déplacement du parti et de la classe ouvrière vers l'activité révolutionnaire.

La politique moderne de la bureaucratie centriste est clairement conçue pour délimiter artificiellement le prolétariat afin de le priver de la possibilité de légitime défense. A ce propos, il est prévu de différencier la masse de travail par des couches qui se distinguent plus ou moins clairement par le niveau de conscience de classe. Avec une petite aristocratie ouvrière très bien rémunérée, assoiffée de vie tranquille, et un groupe assez important de batteurs, formant formellement le soutien du régime, il y a sur la personne un vaste cadre de "recrues" de la petite bourgeoisie de la ville et du village. des relations crédules et bienveillantes à toutes les fables centristes qui leur sont présentées et qui se terminent par une haine plus consciente du concile. Les autorités dans la personne de ses transporteurs modernes. Mais la majeure partie du prolétariat industriel se libère progressivement des vieilles illusions, acquiert une expérience politique et pénètre avec un profond mécontentement révolutionnaire, continuant à occuper une position attentiste, puisque le régime existant ne permet pas une manifestation ouverte de l'humeur massive jusqu'à la hauteur maximale correspondant à la tension extérieure. activité politique. C'est le noyau de l'esclave. la classe, capable de diriger le reste des masses multimillionnaires, cherche maintenant un leadership ferme et clair et un programme d'action distinct visant à rétablir le régime normal et la ligne politique correcte.

Les questions tactiques fondamentales de notre lutte concernent les moyens d'impliquer dans nos rangs les éléments révolutionnaires avancés du Parti et de l'esclave. la classe et la subordination à travers eux à notre influence et à la direction de la classe ouvrière dans la prochaine lutte pour la réforme. Dans ce cas, notre première tâche est de faire face à tous les éléments de frustration, de fatigue et d'apathie, qui entravent la montée de l'activité révolutionnaire des masses.

En même temps, il ne faut pas fermer les yeux sur le fait que (malgré le fait que la dictature prolétarienne contient les plus grandes sources latentes de pouvoir et de renouveau), les masses ouvrières n'ont pas encore compris la nécessité d'une action active contre la faute croissante. centre. Leadership, danger contre-révolutionnaire.

Nous savons que vous ne pouvez pas gagner avec une avant-garde. Et pour que toute la classe atteigne le soutien direct et conscient de l'avant-garde, il lui faut acquérir sa propre expérience politique et pouvoir la généraliser.

Par conséquent, il devrait être facile pour nous que la défense des intérêts vitaux du prolétariat ne mène qu'à l'éveil des couches arriérées des masses, lorsque les objectifs de la lutte sont étroitement liés à la situation concrète et sont compréhensibles aux larges masses. Ce n'est qu'en créant une organisation puissante et ramifiée, étroitement liée à la vie productive des masses et grandissant pour protéger même les plus petits intérêts quotidiens, que nous pouvons compter sur le succès de notre agitation et sur le fait que cette masse nous suivra dans la lutte pour la réforme.

En se concentrant sur l'ensemble de la masse de travail dans son ensemble, nous devons travailler au sein de la fête. C'est donc parmi les travailleurs non partisans, de toutes les manières qui résistent aux tentatives de construire une scène entre les deux. De telles tentatives sont faites à la fois par la bureaucratie centriste, qui cherche à semer la discorde entre divers détachements de la classe ouvrière, ainsi que par des partis antisoviétiques qui tentent de réintégrer les travailleurs non partisans dans le parti des contre-révolutionnaires.

Par conséquent, notre orientation tactique à l'égard de diverses tendances politiques, et en particulier en ce qui concerne le centrisme lui-même, qui représente le principal danger dans le parti, devient d'une importance particulière ". (L. Trotsky.)

Puisque l'aspiration centrale du centrisme est la suppression mécanique de l'activité prolétarienne par des méthodes de terreur administrative et économique - et par des méthodes sophistiquées de tromperie - notre tâche est un vaste travail explicatif pour exposer le centrisme afin d'élever l'activité prolétarienne à un niveau tel qu'aucune intimidation ne peut supporter de la performance. Dans le même temps, nous devons persister à expliquer aux masses que la voie de la réforme passe par un changement de la direction centriste «qui est organiquement incapable de mettre en œuvre la réforme». (Rakovsky.)

Le centrisme, son activité politique décourageante et décourageante de la partie la plus révolutionnaire de la classe ouvrière, facilite l'influence des menchéviks sur le reste des masses. En luttant contre le centrisme et en montrant au prolétariat les moyens les plus réels de sauver sa dictature, nous paralysons ainsi largement l'influence des menchéviks et des autres partis antisoviétiques qui travaillent dans la classe ouvrière. La même chose devrait être dite à propos des anarchistes et des partis qui reflètent leurs complices de la même manière au sein du PCUS officiel (B.).

Luttant contre ces courants, nous luttons contre le démembrement des masses ouvrières en sphères d'influence, sur les principaux axes sociaux, contre la subordination à des influences de classes hétérogènes et pour l'unification, pour le rallier sous le mot d'ordre de restauration de la dictature prolétarienne. Mais cette tâche ne peut être atteint par l'influence de l'extérieur, par un simple éjectant des slogans forts sans les travaux préparatoires appropriés dans toutes les organisations de masse des travailleurs.

La première place à cet égard doit se tenir en face de nous est la lutte pour le secteur du prolétariat du parti officiel, mais (pour) le travail dans ce sens ne doit pas être dans tous les cas, nous aveugler sur la nécessité de conquête est le parti des organisations prolétariennes, en particulier les syndicats.

Seulement en tirant le flanc révolutionnaire entier du parti et le révolutionnaire à leur côté. La plupart de l'esclave. classe, et en lui redonnant à l'avenir la confiance de la couche moyenne pauvre du village (grâce à la propagation de mesures économiques appropriées.) - nous pourrons réaliser la réforme dans tous les volumes nécessaires.

Au cours de notre lutte, nous rencontrerons sans aucun doute la résistance farouche des forces thermidoriennes-bonaparatistes. Et alors le prolétariat est confronté à la question des formes dans lesquelles sa lutte avec eux peut résulter, car elle ne sera probablement pas sans le déclenchement d'une guerre civile.

Le parti officiel représente maintenant la cohabitation de deux camps de guerre civile (L.F)

Cette cohabitation ne peut durer longtemps. L'un de ces camps doit périr pour dégager la place du développement de l'autre.

Nous ne pouvons donc pas nous orienter sur le parti officiel "qui n'existe pas en tant que parti, mais qui doit reconstituer le vieux parti léniniste du secteur révolutionnaire prolétarien du parti officiel et des travailleurs actifs, progressistes, consciemment révolutionnaires qui sont hors du parti aujourd'hui.

La faction organisée et capable de la Ligue bolchevique est la base autour de laquelle la cristallisation de ces éléments révolutionnaires prolétariens et la renaissance du parti léniniste auront lieu.

V. Formes et méthodes de lutte pour la réforme.



Visant à l'organisation de la couverture des masses laborieuses, nous en même temps faut savoir que le régime centriste et politique conduit objectivement au fait que les éléments de la spontanéité dans le mouvement de masse pourrait l'emporter sur un degré d'organisation qui l'opposition de Lénine cela peut mouvement pour communiquer.

Parce qu'alors, même en cas d'une explosion naturelle du trafic, nous ne reculera pas de sa participation, parce que - si les conditions d'assaut objectivement révolutionnaire des masses d'éléments de service directement - comme le disait Lénine - est la tâche politique suprême du parti ".

Dans un endroit si nous ne livrez pas la spontanéité, n'obéissons pas, et nous nous engageons à vaincre, la soumettre à son influence « pour aller à la rencontre des masses, ne pas céder à la spontanéité » (L.T,)

Maintenant que l'essentiel de la classe ouvrière (et pas toutes ses avant-gardes) n'est pas encore sorti de l'attente passive, nous devons rejeter résolument ces propositions. Qui sont dictées par l'impatience révolutionnaire et l'immaturité politique.

Est-ce que cela signifie que nous appelons à la passivité et inspirons les éléments avancés du prolétariat, qui est nécessaire pour survivre avec fatalisme que les développements objectivement, « soi » nous podneset prêts résultats? - En aucun cas!

Cela signifie seulement que vous ne pouvez pas lancer des slogans qui ne peuvent pas être perçus par la conscience des masses laborieuses et ne sont pas issus de l'expérience des masses elles-mêmes. La tâche principale des travailleurs avancés et conscients à ce stade est politique. offensive ne devrait pas être à jeter un slogans à consonance fort, mais dans le dur travail pour créer une organisation souterraine largement ramifiée pour assurer que, sur cette base, en utilisant des conflits privés et plus généraux de travailler avec la bureaucratie, d'impliquer de plus en plus des masses des travailleurs dans la lutte pour la réforme. Jusqu'à présent, la lutte de la classe ouvrière contre le régime bureaucratique a été principalement individuelle-anarchique. Dans le cadre du clip complet de l'activité syndicale normale, transformant des autorités pour protéger les intérêts des travailleurs, des chefs d'entreprise dans les organes subsidiaires, les travailleurs ont eu recours à un format de lutte,comme l'absentéisme, les dommages aux voitures, la mort des batteurs, etc.

L'opposition léniniste ne couvre aucunement le mécontentement contre le régime et la politique bureaucratiques existants. Sa tâche est de préparer et d'organiser une résistance collective et massive à toute la politique de la bureaucratie stalinienne. Sur cette voie, le prolétariat a à sa disposition toute une série de méthodes développées par l'expérience antérieure du mouvement ouvrier, depuis les manifestations organisées jusqu'aux manifestations, grèves, etc.

Au niveau du mouvement, quand il atteint une grande force et pression, il peut se manifester à travers la manifestation de la démocratie «ouvrière», le déplacement et la réélection des officiels du parti, des syndicats et des conseils.

Selon l'ampleur du déploiement du mouvement ouvrier de masse, une très grande importance est l'arme traditionnelle de la lutte de la classe ouvrière, comme une grève, dont l'application dans les circonstances actuelles est passible de toutes les rigueurs de l'anarchie bureaucratique, bien qu'il soit sous Lénine a été introduit parmi les moyens reconnus de défense des travailleurs contre les distorsions bureaucratiques domination. L'appareil. Congrès décision XI connu du parti sur lequel les syndicats obligés «cellule d'affaires dirigée par les travailleurs de la lutte contre les distorsions bureaucratiques États. organismes économiques (après l'épuisement des autres moyens d'influence).

Dans les conditions actuelles, l'utilisation organisée des grèves peut jouer un rôle important dans la mobilisation des forces prolétariennes sous les slogans de la réforme des partis, des syndicats et des conseils.

La résolution XI du Congrès nous donne un moyen important de lutter pour le droit de grève contre le régime bureaucratique. L'opposition doit montrer aux masses qu'à cet égard elle est le vrai conducteur de la ligne léniniste.

Enfin, dans les conditions qui se rapprochent de la mise en œuvre de la pire variante, lorsque la plus grande tension des forces du prolétariat est requise, sa lutte peut prendre la forme la plus aiguë.

Dans le cas d'un discours ouvert des éléments bonapartistes en vue d'un coup d'Etat contre-révolutionnaire, la seule façon de restaurer la dictature sera la suppression armée de la contre-révolution, d'où elle ne viendrait pas.

VI. La conclusion

Opposition b / l. Toujours considéré sa lutte pour la réforme du parti comme une tâche internationale. L'opposition à la direction stalinienne menait et conduisait en étroite relation avec la lutte générale de l'aile gauche du Komintern contre la domination du centrisme. Sans changer tsentristkogo direction du Komintern ne peut pas être énoncés subjective facteur de préparation de la révolution mondiale, pour l'histoire de la direction de Staline, il y a une histoire d'erreurs continues et les a fait démolir le prolétariat international « (Trotsky).

Si le centrisme stalinien et sa domination dans l'Internationale communiste est née de conditions de stabilisation relative du capitalisme et du prolétariat de plusieurs stabilisation sombre au cours des 8 dernières années, le succès dans la lutte contre l'opportunisme stalinien et la relance du Komintern stimulera essor du mouvement international de la classe ouvrière.

Une analyse de la situation internationale montre avec évidence que l'évaluation du Troisième Congrès est terne. KI, que "la courbe du développement capitaliste en général passe par podemy down temporaire; La courbe de la révolution à travers toutes les fluctuations monte.

Sur la base de ce fait, nous pouvons nous attendre avec confiance à une nouvelle recrudescence de la révolution prolétarienne, qui arrachera le sol à la domination de la bureaucratie centriste et créera le changement attendu en faveur de l'esclave. classe et l'aile gauche du Komintern.

C'est pourquoi l'opposition léniniste n'a jamais considéré (comme les Zinoviev et les décistes - souffrant également de limitations nationales) leur lutte contre le centrisme, indépendamment du développement de la situation mondiale dans son ensemble.

Waging une lutte acharnée pour la relance du Komintern sur les fondements du léninisme, nous créons ainsi les éléments des états subjectifs de montée future de la lutte prolétarienne, la préparation mondiale de demain mouvement communiste.


--------------------------------------

2ème brochure (trad. automatique) a écrit :
La situation dans le pays et les tâches des bolcheviks-léninistes



(avancé au nord du comité de rédaction)

PZR No. 10 Décembre 1932

Contenu:

Ch. I Sous le signe d'un tas de disproportions.

Ch. II Sur toutes les paires à la crise politique.

Ch. III: Cibler la lutte de masse et contre le liquidationnisme.

Ch. IV En phase avec la classe ouvrière - pour affronter de nouvelles batailles!

Prolétaires de tous les pays, unissez-vous!

Avant-propos.

La ligne de front actuelle quitte après une longue pause, au cours de laquelle la ligne politique de la rédaction du PZR. Je ne pouvais trouver aucune réflexion dans les éditoriaux (courts résumés du danger de la guerre, publié cette année, le. Nord et w B. La partie modifiée en Juin sans la participation de deux membres du comité de rédaction de drôle).

À l'heure actuelle, la situation dans le pays est si aiguë qu'il est inévitable d'approfondir les différences dans notre environnement. Pas étonnant, comme dans le comité de rédaction du PZR. l'ancienne composition n'a pas trouvé de voix commune concernant l'évaluation des tâches de notre mouvement.

Nous ne nous donnons pas ici la tâche de fournir une analyse exhaustive de la situation politique et économique, et nous nous bornons à l'évaluer telle qu'elle s'est développée jusqu'à présent.

De plus, nous ne donnons pas ici une justification complète de nos tâches tactiques. Les deux lecteurs trouveront dans les thèses « La crise de la révolution et les tâches du prolétariat »

Les problèmes de la situation internationale, que nous aborderons dans des articles spéciaux, sont également restés sans couverture.

I. Sous le signe de l'accumulation des disproportions.

Il serait tout à fait erroné d'imaginer la politique centriste comme une ligne mathématiquement simple, planifiée et testée par la prévoyance créative de la gestion économique planifiée.

En fait, pris dans son ensemble, pour un certain nombre d'années, c'est une image de zigzags erratiques - le résultat de l'empirisme pathétique de la méchanceté bureaucratique.

L'aventure ultra-gauche elle-même, cette «seconde période de la mascarade bureaucratique» («Problems»), pour toutes les apparences impressionnantes de ses tendances offensives, est un changement assez varié des tempos, d'abord modérés, puis de plus en plus accélérateurs. , ralentissant brusquement.

Il n'y avait pas de planification planifiée pour ce changement de rythme. Le développement de l'industrie au cours des quatre dernières années représente une combinaison de périodes d'une course effrénée avec des percées et des digressions. En conséquence, l'exécution du plan quinquennal n'a eu lieu que dans la mesure de sa violation. Les succès dans les industries individuelles ne se sont pas fondés sur une croissance générale harmonieuse de l'ensemble de l'économie nationale, au contraire, en raison du retard accumulé dans un certain nombre d'industries importantes. En outre, dans ces conditions, sur la base de l'épuisement physique de plus en plus grand de la classe ouvrière, le développement progressif de l'économie ne peut durer longtemps.

Sous la pression des circonstances, la direction stalinienne a réalisé, au cours des deux premières années du plan quinquennal, des succès inattendus, démontrant au monde entier les avantages et les opportunités des méthodes de gestion centralisées, dont la manifestation a été entravée par la politique du centre-droit. bloquer

L'intensification du rythme, qui était «une combinaison d'aventurisme et de démolition», a perturbé la fluidité du processus de reproduction et conduit à un «empilement imprudent de disproportions et de contradictions» («probl»).

Cette politique, ignorant les besoins de la classe ouvrière, basée sur le manque de comptabilité des ressources matérielles et centrée sur la construction d'une économie nationale fermée, isolée du marché mondial, signifiait en substance une violation complète du principe prévu.

En conséquence, nous avons une inégalité extraordinaire et une disproportion entre le développement de diverses industries. L'industrie de la construction mécanique est pressée, la métallurgie et toute la production de carburant sont loin derrière. Cette contradiction est caractéristique de l'ensemble de l'industrie: non pas, semble-t-il, une seule industrie qui se développerait dans la proportion prévue par le plan quinquennal.

Une telle politique ne pouvait que conduire à une rupture de l'équilibre, qui se manifestait sous une forme si dure vers le milieu de l'année 1931. Depuis lors, la situation a été de plus en plus compliquée par de nouvelles percées qui donnent une image de la désintégration générale de l'économie nationale, bien que, par inertie dans certains secteurs, certains progrès se poursuivent.

Nous n'allons pas donner d'analyse économique détaillée ici. Mais dans l'ordre des illustrations aux dispositions ci-dessus, nous donnons quelques chiffres caractéristiques.

Tout d'abord, comment se passe-t-il avec la construction de capital, sur laquelle, comme vous le savez, il y a maintenant une cargaison de plusieurs milliards de capital-décès investie dans des usines sans fin et inachevées?

En liaison avec des difficultés importantes dans les matériaux de construction et la main-d'œuvre, la construction est progressivement abandonnée et les fonds sont concentrés sur un petit nombre de sites d'impact. Par exemple, le plan annuel initial des travaux d'équipement pour 1932 dans la métallurgie des métaux ferreux n'a été réalisé pour le volume physique au cours de la première moitié de l'année que de 21%. Environ la même situation se développe dans la plupart des autres industries. La deuxième moitié de l'année ralentira encore le rythme de la construction.

En ce qui concerne l'industrie existante, déjà en 1831, une baisse significative des indicateurs de qualité, exprimée dans les chiffres officiels de l'augmentation des coûts de production par rapport à l'année précédente, n'est pas moins de 5-6%. Dans la même année de 1931, le recul a commencé dans la ligne des indicateurs quantitatifs dans un certain nombre d'industries. Cela s'exprime non seulement par une sous-exécution significative du plan, mais aussi par une diminution de la production par rapport aux années 1930.

1932 approfondira ce processus. Situation particulièrement triste est obtenue dans les principales branches de l'industrie lourde. En général, dans l'ensemble de l'industrie lourde, la mise en œuvre du pan dans le trimestre I selon les données officielles était de 86,6%, au cours du trimestre II. - 77,7% et dans le trimestre III. - 67,9%. En d'autres termes, l'écart entre le plan et la mise en œuvre réelle est en croissance.

Ce phénomène est particulièrement frappant dans l'industrie charbonnière. Si en janvier 1932, 4245 mille tonnes ont été produites dans le Donbass contre le programme à 4.425 mille tonnes, à savoir. 96% du plan, puis en juin de la même année la production mensuelle était seulement de 3630 mille tonnes contre le programme de 4746 tonnes, soit 76,4% du plan. Les fluctuations de l'extraction du charbon par rapport à l'année dernière sont encore plus révélatrices. Ces derniers mois, elles ont donné une image de la réduction relative des taux de production. Si en juillet 1932, en comparaison avec le mois correspondant de l'année précédente, la production journalière moyenne était de 107%, en septembre - jusqu'à 101,5%, en octobre - jusqu'à 91% et en novembre de 0 à 89%.

Ainsi, en ce qui concerne l'exécution du plan pour l'année donnée et en comparaison avec la production effective de l'année précédente, les indices quantitatifs de l'industrie charbonnière du Donbass donnent une détérioration de mois en mois. Et ceci malgré une augmentation significative du nombre de travailleurs (plus de 1931, de 20%) et du nombre de mécanismes (plus qu'en 1930, près de 100%). Cette baisse de la production dans le Donbass résulte d'une baisse de la productivité du travail: si en janvier 1931, 14,6 tonnes étaient produites par travailleur, en janvier 1932 la production tombait à 13,9 tonnes et en juin de la même année à 12,8 tonnes, était inférieur au pire mois de 1930. La situation dans l'ensemble de l'industrie charbonnière n'est pas meilleure. Mais la production de pétrole, qui était autrefois en avance sur de nombreuses autres industries, a commencé à diminuer fortement, avec un recul important par rapport à 1931.

L'industrie du minerai est également très insatisfaisante, dans laquelle le sous-développement du programme se développe à de tels taux: I trimestre. 1932 80% du plan, II trimestre. - 68%, III trimestre, - 59,5% du plan.

Pendant ce temps, les capacités de production de l'industrie métallurgique, bien que plus faible que prévu, mais encore augmenté, Par conséquent, l'extraction de minerai et de carburant dans le courant de l'année à la traîne de la croissance de la fusion des métaux. D'où - une forte baisse des stocks de matières premières et de carburant - au lieu d'accumuler ces stocks pour l'hiver, comme les années précédentes. Et cela, à son tour, menace toute l'industrie avec une nouvelle réduction de la production.

Arrêtons-nous sur l'état de la métallurgie elle-même. Dans la métallurgie ferreuse, la capacité des unités d'exploitation a augmenté en 1931 en raison de la mise en service d'un certain nombre de nouveaux domaines et de nouveaux fours à sole. Cependant, le plan de mise en service annuel n'a été achevé au cours des six premiers mois que de 16,7%. La seconde moitié de l'année ne donne pas les meilleurs résultats. En général, sur un domaine de 26 ti, dont le lancement est prévu toute l'année, seuls 9 d'entre eux sont lancés: sur les 64 foyers ouverts, pas plus de 20 ti seront lancés. Et sur le laminoir proposé pour le plan, seuls 4 ou 5 seront lancés.

Mais le nombre réel de granulats n'est pas fourni avec suffisamment de matières premières, de carburant ou de personnel. Par conséquent, la croissance de la production, si elle est observée au cours des derniers mois, se produit avec de grandes perturbations et un stress extrême uniquement par l'introduction de nouvelles unités. Si nous prenons séparément le travail des hauts fourneaux, en juin, juillet et août 1932, ils ont produit moins de 30 ans, mais 31 ans. Ainsi, par exemple, en juin, les anciens domaines donnaient 11,445 tonnes de fonte par jour contre 11,570 tonnes en juin 1931 et 13553 tonnes en juillet 1930. Le taux d'utilisation des hauts fourneaux a chuté au niveau de 1927/28. Les nouveaux fours, bien qu'ils augmentent la fusion totale de la fonte par rapport à 1931, mais n'utilisent pas leur capacité prévue, fonctionnant très inégalement. Il suffit de citer l'exemple de Magnitogorsk, dont les deux fours à l'occasion du mois d'octobre rattrapaient jusqu'à 2000 tonnes par jour. dans la troisième décade de novembre, ils l'ont de nouveau abaissé à 1 000 également. certains jours et jusqu'à 200 tonnes par jour. En général, pendant un an, la fonte de la fonte atteindra, au mieux, des chiffres de 6400 tonnes. tonnes au lieu de 9 000 tonnes, soit 71,1% du plan. Avec le développement de l'acier est encore pire: il, apparemment, ne dépassera pas le niveau de 1930, à savoir. 5700 tonnes, ce qui représente seulement 60% du plan. La production d'acier laminé au cours de la première moitié de l'année est de 32 ans inférieure à celle de 1930 et, depuis juin, inférieure à 1931. Pour une année, il sera exprimé par un chiffre ne dépassant pas 4400 tonnes, soit 66% du plan.

La métallurgie des métaux non ferreux marque également le pas et n'a donné que 16 tonnes de production au premier semestre de cette année. moins que dans la première moitié de 1928-29.

Dans le contexte général des difficultés de l'industrie lourde, seuls des secteurs tels que l'industrie automobile, qui est une sorte de parasite de l'économie nationale, ont été alloués, absorbant la part du lion des investissements en capital et du fonds de roulement. Mais même ici, au cours des dernières années, il y a eu des signes d'une recrudescence, qui s'est manifestée par une baisse de la production.

La dégradation des indicateurs quantitatifs dans l'ensemble de l'industrie s'accompagne d'ailleurs d'une baisse continue des indicateurs de qualité: la qualité des produits se dégrade et le coût de production augmente.

La plupart de l'industrie lourde a déjà fait un bond significatif du prix de revient en 1931 par rapport à 1930 - de dizaines de pour cent à la hausse. 1932 montre une nouvelle détérioration. Avec quelques autres industries, la production de tracteurs routiers était encore une exception, ce qui a réduit le prix de revient. Mais cette baisse est conditionnelle et n'est observée que dans les nouvelles industries, où, pour la première fois, pendant la période de démarrage, le coût principal est à un niveau extrêmement élevé. Le fait de Goth que le STZ. et d'autres nouvelles usines réduisent seulement le coût jusqu'à ce qu'ils maîtrisent toute leur capacité. Et puis ils sont menacés par un destin commun, c'est-à-dire transition vers une augmentation des coûts de production due aux conditions générales de la «mauvaise gestion organisée» qui prévaut dans le pays.

Sans nous attarder sur le travail de l'industrie légère, où les mêmes tendances tardives se manifestent avec le moins de force, nous nous bornons à dire que l'ensemble de l'industrie est commune avec l'augmentation de la masse du capital fixe fonctionnel (malgré une cadence toujours en baisse). construction de capital et énormes masses de capital nécrosé) qualitatifs, et très souvent, les indicateurs quantitatifs commencent à se détériorer de plus en plus nettement.

Nous n'analyserons pas les causes de ce phénomène ici. Fondamentalement, ils se réduisent à l'influence désorganisatrice que les méthodes de gestion économique, sa direction générale, sa «ligne générale» exercent sur l'industrie. L'année expirant ne fait qu'approfondir son influence réactionnaire sur l'industrie et même sur l'économie tout entière.

En ce qui concerne les résultats globaux de l'industrie, nous les avons pour seulement 9 mois. La production brute de l'ensemble de l'industrie à valeur ajoutée avec les mois correspondants de 1931, selon les données officielles, n'était que de 13,1%, tandis que la production brute de 31 g par rapport à l'année 30 affichait une augmentation de 21,7%. Rappelons que ces pourcentages sont donnés pour la production brute en valeur, et qu'avec une approche critique à leur égard, diverses distorsions sont clarifiées dans le sens de l'exagération! Il n'y a aucune raison de croire que les trois mois restants changeront de manière significative la situation. En d'autres termes, les indicateurs quantitatifs à 32 ans sont loin derrière le plan, mais restent également en deçà du taux à 31 ans (qui était inférieur au niveau des premières années du plan quinquennal), poursuivant la tendance à une «corruption décroissante». Le pire est le cas avec les indicateurs qualitatifs.

Nous observons également la même tendance à une détérioration graduelle mais régulière du travail de transport qui, à en juger par son indicateur le plus important, la charge journalière moyenne des chemins de fer, est inférieure de 25% au plan et de 7-8% au niveau de 31 ans. Mais les chemins de fer sont le système de sang de l'économie nationale.

Est-il possible d'attendre une amélioration de la performance de l'industrie si ce système ne répond pas aux exigences? N'est-ce pas un personnage illusoire et simplement fictif que de nous présenter toutes les statistiques sur l'augmentation de la production brute en valeur, si sa substance matérielle se déplace moins dans les artères économiques que l'année dernière?

La même signification signalant le danger de catastrophe économique a une crise sans cesse plus profonde du système monétaire. Le rôle symptomatique n'est-il pas dû au fait que les responsables de la Commission d'Etat sont tenus de mettre en garde contre la nécessité de "maintenir un système monétaire stable" et que "seule la disponibilité d'une monnaie forte assure le développement normal de la reproduction socialiste élargie"? (Voir l'article de I. Smilga dans "L'économie planifiée", n ° 3 de 1932)

Mais la chose la plus alarmante est que ces tristes résultats de 1932 dans l'industrie, les transports et la finance s'accompagnent d'une nouvelle régression de l'agriculture qui a beaucoup souffert ces dernières années, lorsque la tactique de restructuration organisationnelle rapide du village sur la base de la collectivisation bureaucratique forces productives de l'agriculture.

Les méthodes de l'activité centriste dans la campagne au fil des ans ont conduit au fait que les exploitations individuelles, couvrant jusqu'à env. 40% de la population paysanne, sont en fait privés de la possibilité de cultiver même dans le cadre de la simple reproduction. Mais la paysannerie collective est mise dans de telles conditions qu'elle perd la dernière motivation à travailler. Et les fermes d'État, au lieu de démontrer aux fermes collectives les normes plus élevées de l'agriculture rationnelle. la production, en fait, tissait dans la queue, discréditant l'idée de l'agriculture à grande échelle.

En 1932, la paresse a continué un sérieux recul vers la réduction non seulement des indicateurs qualitatifs mais aussi quantitatifs de l'agriculture, l'élevage étant le plus touché. Si, en 1930, le nombre total de têtes de bétail diminuait de 20% par rapport à 1928, en 1932, les estimations les plus conservatrices nous conduisent à environ 50%. Dans le domaine de la culture de plein champ également, après la qualité du début, la ligne quantitative souffre également. La détérioration de l'organisation du travail, la réduction de la puissance de traction - malgré la croissance de la flotte de tracteurs qui ne parvient pas à détruire les bêtes de trait - et la négligence des machines agricoles - entraînent inévitablement une baisse des rendements.

La désorganisation progressive de l'agriculture est exprimée, ne serait-ce que parce que, dans le courant de 1932, aucune campagne agricole n'a été meilleure que dans les résultats tout à fait insatisfaisants de 1931. La campagne de semis de printemps dans la plupart des zones s'est développée à un rythme plus lent et s'est terminée par une pénurie. Très mal passé le stock de foin et d'ensilage. Récolte extrêmement tardive des céréales, ce qui a donné une énorme pénurie. La récolte des tournesols, des betteraves et d'autres cultures techniques était tout aussi mauvaise. Le pain et les légumes - les billettes sont également plus lentes que l'année dernière.

Voici quelques chiffres pour l'Ukraine, qui a souffert le plus de toutes les autres régions des expériences centristes. Au milieu des semis printaniers de 1932 - le 1er juin, l'Ukraine, qui a commencé cette année à semer plus tôt que l'an dernier, a réussi à semer seulement 15,8 millions. ha, contre 15,9 millions. Il a été semé à cette date en 1931 et, à la fin des semailles, le 1er juin, 16,8 millions ont été semés. ha contre 18,5 millions. ha en 1931.

Quant à la campagne de récolte, en Ukraine il a procédé aux taux suivants: sur la superficie totale des cultures céréalières et 17,2 millions de dollars. ha (comprenant 10,6 m.ha de cultures d'hiver et 6,6 m de cultures de printemps) a été affecté à 15,8 m de nettoyage, puis le plan a été réduit à nouveau à 14,5 m. / VIII a été enlevé seulement 8,2 m contre 13,8 m en 1931, et à la fin de la récolte, 5 / IX - 13, 6 m (alors qu'en 1931, 17/17, 17 , 6 m Ha, soit 98% du plan). Ainsi, de toute la superficie des cultures céréalières, 3,6 m. 21%, ce qui devrait être considéré comme mort.

Dans toute l'URSS. le nettoyage était également d'une lenteur inacceptable, même en comparaison avec le rythme insatisfaisant de l'année dernière: le I / IX 1932 seulement 64,7 millions d'hectares ont été enlevés, contre 75,4 millions en 1931; et seulement à la fin de la campagne de récolte, la superficie de 71,7 ha a été remplacée, au lieu du plan prévu de 86,5 m. seulement 82, 9%.

Les résultats des semis d'hiver ne sont pas moins dérangeants. Au I / IX, lorsque le semis effectif devrait déjà être achevé, en Ukraine, seuls 5,1 millions d'hectares ont été ensemencés au lieu des 7,5 millions de l'an dernier, et dans toute l'Union, 26,5 millions. sur 3,2 millions d'hectares est moins, qu'en 1931. Enfin, à 10 / XI ont été semées m 36,3 m (86,7% de l'objectif) par rapport à l'année dernière 37, 4 m, et très peu développé labourage: .. 20 / XI a soulevé des champs labourés seulement 24,5 m contre ha. 33,9 m Ha en 1931.

Tous ces chiffres ne demandent pas de longs commentaires: les résultats insatisfaisants des semis de printemps de 1931, qui ont duré deux fois plus que la norme, ont entraîné une diminution significative du rendement des cultures de printemps, les résultats encore plus mauvais de 1932 l'ont encore réduit; Si le faible rythme de récolte de 1931 entraîna d'importantes pertes de céréales, la lenteur de la tortue, avec laquelle le pain fut retiré en 1932, eut un effet encore plus négatif. si le non-respect des plans de semis d'automne et de labour d'automne de 1931 a fortement affecté la récolte de 1931, un déroulement encore moins satisfaisant des travaux d'automne de 1931 ne peut que se traduire par la perte de la récolte de 1933.

Que signifient les résultats négatifs de la ferme principale? campagnes de 1932? - Ils montrent la poursuite de la dégradation de l'agriculture sur la base de la résistance croissante et du sabotage industriel de la paysannerie. Sous cette forme passive, le vote politique du village contre le système bureaucratique de gestion économique se manifeste.

Et pour la classe ouvrière, tout cela signifie une nouvelle détérioration de sa situation matérielle: la main osseuse de la faim s'enfonce encore plus fortement dans sa gorge.

En comparant les résultats du travail de l'industrie et de l'agriculture, nous sommes convaincus que la politique des "sauts de prix" de l'industrialisation et de la collectivisation solide est de plus en plus entravée.

Fondé déjà en 1930 sur les limites de son développement optimal, poussé par l'imagination débridée de ses dirigeants, l'économie nationale de l'URSS. a donné en 1931 une percée énorme, signalant le péril de la politique poursuivie. Cependant, l'aventurisme économique du centrisme a sa propre logique interne fatale: il lui était plus facile d'enjamber au maximum les parties optimales que de revenir du maximum à l'optimal.

La direction stalinienne, en prenant plusieurs raisons distinctes pour cette percée - y compris quelque chose d'aussi significatif que l'aggravation de la position matérielle des masses ouvrières - n'a pas réussi à saisir le fait de la dépravation de l'ensemble de la «ligne».

D'où le caractère illusoire du programme anti-crise, qui était prévue fameux « conditions 6yu » de Staline. Ils ne font que souligner la méchanceté de la bureaucratie. La panacée principale pour les troubles ont éclaté, elle vit dans la transition vers l'autofinancement, et ces méthodes d'organisation du travail, qui redonnent entièrement le système d'exploitation capitaliste. Cependant, les méthodes de leur despotisme usine incapable de donner un effet économique déterminant si elles ne sont pas accompagnées d'une transition vers des méthodes capitalistes de fonctionnement de la production et de l'échange, si elles ne rétablissent pas l'initiative économique et la liberté de la concurrence économique, au moins sous la forme pervertie, qui est resté sous le capitalisme de monopole.

Mais la bureaucratie, éliminer l'utilisation des méthodes de gestion socialistes et substitutions et contre les méthodes de modèle (au lieu de de la démocratie et les travailleurs des travailleurs de contrôle de la production - l'arbitraire administratif complet, l'omnipotence complète des affaires sur les conditions de travail et même la durée de vie), en même temps n'a pas réussi à donner son politique d'un caractère systématiquement capitaliste, car cela est impossible sans un changement décisif dans la corrélation des forces de classe, sans l'utilisation de méthodes de contre-révolution politique ii.

Piétinant impitoyablement la frontière de démarcation qu'elle a atteinte vers le capitalisme, la bureaucratie stalinienne s'efforce vainement de surmonter la crise, irréalisable sous sa direction bureaucratique dans ces conditions. Et ainsi l'année 1932 ne donne que de nouvelles preuves de la futilité de la politique centriste.

L'exemple de la réforme tarifaire conduite est assez indicatif à cet égard. La transition vers les ateliers de misère progressive était couvert de travail à la pièce de l'augmentation des salaires slogan, au moins pour certaines catégories de travailleurs dans la procédure « liquidation de nivellement ». En fait, les meilleures méthodes de réalisation de cette réforme, ainsi que la politique économique de toute années.6 seulement conduit à une forte croissance de l'inflation, ce signifie en fait une baisse des salaires réels.

Cet exemple démontre, entre autres, que les progrès bureaucratie politique vient à une fin naturelle: toutes ses « concessions » à la classe ouvrière sont, caractère fictif, car ils ont annulé rapidement une augmentation générale des prix en style libre et le commerce d'État.

La véritable signification de cette «réforme» réside dans une autre. La politique poursuivie par le centrisme est basée sur l'exploitation effrénée des masses laborieuses, sur le gaspillage prédateur des forces vives du prolétariat, sur la privation et la faim toujours croissantes. Cette politique ne serait pas possible si la bureaucratie ne prenait pas de mesures pour affaiblir la résistance de la classe ouvrière en divisant et en opposant ses parties séparées les unes aux autres. Ce but est servi par la réforme tarifaire menée, visant à créer une aristocratie ouvrière privilégiée et mieux payée.

Forcé « rendement » sous la pression de la bureaucratie de la classe ouvrière dans une direction alors que l'autre se déplace à l'avance contre ses intérêts. Après un été de troubles, en jetant les travailleurs maigre pitance (cantines Ivanovo ont reçu 9 millions. Roubles), la bureaucratie en même temps est devenu une nouvelle campagne intrigante, exprimée dans la tristement célèbre après Octobre le présent, comme la loi draconienne contre les tricheurs, la loi, en fait dirigée contre les grévistes, dans la lutte contre que l'administration a accordé le droit de licenciement de la société, et la privation de ration de pain.

De cette façon, la bureaucratie stalinienne, tout embourbé dans un marécage de contradictions générées par sa politique, « il devient de plus en plus un outil potentiel de bonapartisme » ( « Challenges »).

Mais précisément c'est en même temps éveille l'attention de la classe ouvrière, le forçant à devenir le chemin de la résistance révolutionnaire aux politiques désastreuses de la bureaucratie.

Les tâches de la politique centriste dans les campagnes sont tout aussi importantes. La bureaucratie ne voit toujours pas la profondeur de la crise qui se développe dans l'agriculture et tente donc de sortir de la situation dans le cadre de la vieille politique «continue», essaie d'introduire certaines modifications épisodiques qui sont généralement saisonnières: une nouvelle ère de l'agriculture collective commerce, là encore, il y a un tour aux mesures d'urgence.

L'état de l'agriculture ne pouvait que provoquer l'inquiétude de la bureaucratie. La menace d'une nouvelle campagne de semis et d'une grève des récoltes plane sur le pays. Au printemps de 1932, une série de décrets fut publiée, qui semblait représenter le début d'un tournant décisif dans la politique rurale du centrisme. Mais ces décrets n'ont pas été développés davantage. S'étant limitée à certaines concessions mineures, la bureaucratie n'osait pas dépasser une certaine limite à ce stade.

La politique de "solide" et le stock excédentaire sont restés largement inchangés. Par conséquent, les nouveaux décrets ont peu d'effet sur l'humeur de la paysannerie, ne lui causent aucun «enthousiasme». Le sabotage industriel dans le village a continué à s'intensifier: de tristes résultats. les ménages. les campagnes ont montré cela avec évidence.

Mais à l'automne il y a de nouvelles difficultés. Avant la bureaucratie, il y a un problème d'organisation des achats de céréales. Et maintenant, incapable de trouver la bonne solution à ce problème, il se précipite dans la direction opposée.

Le village subit une pression administrative intense, dans le but de dégonfler non seulement la partie fortement réduite de ses produits, mais aussi une part importante de son fonds de consommation. C'est le début d'une nouvelle saison de la plus dure persécution du secteur agricole collectif dans les campagnes, accompagnée d'attaques féroces contre les propriétaires fonciers du district et d'autres représentants de l'appareil de base. Tout cela - dans un considérablement augmenté, en comparaison avec les années précédentes, l'échelle.

Enfin, l'aggravation de la lutte, de plus en plus puissante, provoque la formation d'une guerre économique et politique formelle sur le village. La plupart des zones de production - l'Oural et la région de la Volga, au Nord. Le Caucase et l'Ukraine, ces principaux greniers de l'Union, sont presque en état de siège. Les fusillades et l'exil des communistes et des agriculteurs collectifs sont introduits dans le système et deviennent les principales méthodes d'approvisionnement en céréales dans les régions productrices de l'URSS. (Voir les résolutions pertinentes de S. Kavkazsky Kraykom, Uralobkom, Wed Volzhsky Kraykom, Comité de l'Oblast de TEC et SNK de l'Ukraine).

Dans toutes les politiques de la bureaucratie vers le village regarde à travers elle est caractéristique qui a eu lieu dans les agriculteurs de sabotage de la production et la suppression de leur « résistance koulak », elle cherche hypocritement à prouver sa « diligence » du prolétariat, l'organisation de l'approvisionnement alimentaire des villes embrassant la poupe.

Dans le même vremya6 inventer de nouvelles façons de réprimer le prolétariat, la bureaucratie veut montrer le pays qui ne serait pas céder à « la demande croissante », « absentéistes et flyers » remplir les usines.

Cette politique est la lutte sur deux fronts, si caractéristique du centrisme dans le passé, en maintenant d'autant plus tragique (la bureaucratie) caractère, car il est peu à peu de plus en plus rétrécit la base de données centrée, plus l'opposition à ses intérêts politiques des deux classes principales du pays: le prolétariat et la paysannerie.

En même temps, cette politique ne résout pas les difficultés économiques, mais au contraire les approfondit, désorganisant finalement le travail et la production, à la fois dans la ville et à la campagne,

Face aux résultats désastreux de sa politique, la bureaucratie elle-même est confuse et hésitante. Perdant la foi dans la possibilité d'une sortie de la crise sur les lignes de la «ligne», elle hésite même avec l'élaboration du plan du Second Plan quinquennal solennellement proclamé, qui fixe la tâche d'établir une société sans classes.

Ayant perdu des perspectives, la bureaucratie cherche des moyens de renforcer davantage la terreur. L'aventure ultra-gauche, qui marque ses premiers pas par l'explosion des révoltes paysannes, s'éteint sous nos yeux et menace d'être noyée dans le sang du prolétariat.

Avec la terreur interne, la bureaucratie a toujours un chemin très tentant sur les pions des aventures diplomatiques. Tous les efforts de la diplomatie de Staline ont pour but de trouver des occasions de combinaisons en coulisse avec les dirigeants de l'impérialisme étranger.

Quelles sont les limites dans lesquelles dans les deux sens, nous pouvons seulement deviner. Une chose est certaine, ici et là, avant la dictature du prolétariat, il y a une menace terrible d'un coup d'Etat contre-révolutionnaire comme fin logique de l'aventure de l'ultra-gauche.

Nous ne devons pas sous-estimer la capacité de survie du pouvoir bureaucratique, en équilibrant entre les classes et en nous appuyant sur un système sophistiqué de tromperie et de violence. Mais si on a tenté de prédire à proximité prématurée de sa destruction en 29 et 39 ans, étant donné que le processus n'a pas encore terminé, et la capacité de manœuvre et les coins ne sont pas épuisés, mais aujourd'hui la situation a radicalement changé et les délais approchent.

Et pas à nous, l'opposition de Lénine se cacher de nouvelles perspectives comment ils sont graves, pas pour nous d'être un lâche face à des événements clés à venir, dès que nous sommes en mesure d'offrir le prolétariat un programme de lutte claire, une voie claire de la crise dans la direction prolétarienne.

II. Sur toutes les paires à la crise politique.

La politique de développement centrée sur ces dernières années, avec toutes ses contradictions et zigzags, est le résultat d'une interaction très complexe des rapports de classe. Il a été traduit par l'accumulation progressive des éléments de puissance double, ce qui compromet le régime de la dictature prolétarienne.

Cependant, en dépit du fait que la préparation bonopartizma a à bien des égards terminée et que les processus de régénération au cours des années ont été très loin, le commandant du centrisme toujours dans l'impossibilité de transférer à la contre-révolution paysanne cheval bonapartiste, pour la paysannerie avait perdu les derniers vestiges de sa confiance dans la bureaucratie centriste.

Voilà pourquoi le centrisme battre en proie à des contradictions et ne peut pas échapper au piège de l'aventurisme ultra-gauche. Le coup bonapartiste exige des «sacrifices de rédemption» pour les péchés du centrisme. Après le 15 mars 1930, ces victimes étaient Bauman et d'autres «gauchistes» qui payaient leurs postes. Depuis lors, environ 3 ans se sont écoulés. L'aventure ultra-gauche a aggravé la crise économique et aggravé les contradictions de classe dans le pays.

Si toge pouvait se limiter à un petit regroupement de matériel à l'intérieur, maintenant à peine capable de garder son équilibre dans la direction de même la réorganisation d'une plus grande échelle, parce que dans un environnement stressant d'aujourd'hui des changements politiques importants (et y compris - pour effectuer en haut) sera l'impulsion initiale du mouvement politique dans le pays et la fête.

Void "victimes" maintenant avant l'histoire ne peut pas payer. Les débutants pour activer les forces de classe auront besoin d'un changement dans le régime dans un sens ou dans un autre, et ce dernier n'est pas inclus dans les calculs de la direction. Événements dans le pays chaînés notre attention sur un certain nombre de caractéristiques qui se distinguent fortement par rapport au stade actuel de l'histoire de ces dernières années, comme une finale, apparemment, le stade de la « période centriste de la » dictature du prolétariat, l'ouverture d'une transition directe ou à son recouvrement à une base de plus si le prolétariat assez de force pour tourner le volant dans le côté droit de celui-ci, ou à sa destruction finale, si le sommet sera contre-révolution bonapartiste.

La tension extrême de la situation politique soulève la question du pouvoir. Poussé dans une impasse économique et politique, le pays peut trouver un moyen de sortir uniquement sur la voie prolétarienne ou le chemin NEO NEP, pour la « ligne générale » stalinienne et a contraint par la fissuration sous la pression provoquée par celle-ci aux contradictions de la vie.

Chacun des nouveaux décrets de la bureaucratie au pouvoir, chacune de ses nouvelles activités - avec une nouvelle force révèlent son approfondissement dégénérescence bonapartiste. Devant nous, avec la plus grande clarté, est le processus finalement achevé de sa séparation du prolétariat. En se fondant sur le régime plébiscitaire, en utilisant toutes les méthodes de violence morale et physique, y compris les exécutions de masse des manifestations ouvrières, la bureaucratie a concentré entre ses mains toute la puissance, petit à petit, pas à pas, privant la classe ouvrière des derniers vestiges de contrôle sur la machine et sur sa politique.

Par conséquent, la lutte du prolétariat avec la bureaucratie centriste moderne - en tant que force qui lui est socialement hostile, qui porte la pression des classes hostiles contre le prolétariat - est l'une des formes de la lutte des classes. Cependant, peu importe à quel point la bureaucratie est entrée dans sa politique de répression, elle est contrainte de la masquer encore sous la forme d '«adaptation au prolétariat». Cela s'exprime principalement dans son idéologie spécifique, dans son contenu antiprolétaire, et dans sa forme est un masque protecteur pour le marxisme et le léninisme, modernisé à Staline. Cela se manifeste aussi dans la conservation à ce jour d'un certain nombre d'établissements de la dictature prolétarienne, que la bureaucratie ne peut détruire jusqu'à ce qu'elle ait conclu un accord ouvert avec la contre-révolution.

Jusque-là, l'oligarchie stalinienne que toutes les autorités ont predbonapartistskaya « ne pas tomber en équilibre, à flirter, de gérer, de corrompre, de plaire et de garder non seulement sur les baïonnettes. »

Manœuvrant entre les classes, et même alors pas encore libre, la bureaucratie n'a pas l'impression d'être tout-puissant et de gouverner unanimement les classes. Cela a été expliqué et le caractère particulier de son mezheumochny dekretotvorchestva alternativement infliger des coups lourds sur les meilleurs intérêts des deux principales classes du pays et en même temps forcé à faire des manœuvres, masquant ses véritables intentions.

Certes, cet exercice d'équilibre prend place sur une base de plus en plus effilée. Par conséquent, les éléments de flirt dans la politique bureaucratique cèdent de plus en plus la place à une intimidation grossière, et les concessions sont de plus en plus caractérisées par de maigres dons qui ne sont pas capables d'exciter des illusions.

Dans cette situation, l'appareil tend à restreindre davantage ses activités à un cercle étroit d'obscurantisme terroriste, ayant depuis longtemps perdu la capacité de gouverner dans le cadre normal de la bonne légalité soviétique.

Toutes les activités des organes directeurs du pays sont axées sur le renforcement de l'arbitraire administratif. Les commissaires locaux et les satrapes du gouvernement central ont liquidé toute autonomie locale et réparé la cour et le massacre dans la ville et à la campagne, à l'usine et à la ferme collective. L'application de l'anarchie sans effusion de sang du GPU aux nouvelles masses non seulement des paysans mais aussi des travailleurs se répand de plus en plus.

C'est pourquoi les chances d'une sortie réformiste de la crise s'épuisent de plus en plus. Et bien que le prolétariat garde toujours l'opportunité de restaurer sa dictature par la réforme, mais grâce à la dégénérescence profonde de la bureaucratie, cela devient de plus en plus problématique. La pire option - les guerres civiles - devient de plus en plus possible.

Cependant, la renaissance, aussi loin qu'elle soit, n'a pas encore atteint cette limite quantitative, au-delà de laquelle il y a un saut qualitatif. Et bien que "les leaders idéologiques et organisationnels de la contre-révolution pénètrent profondément dans les organes de la dictature prolétarienne", "mais entre la fonction actuelle de l'appareil et sa fonction de demain, le sang de la guerre civile doit être versé".

En même temps, la bureaucratie bonapartiste elle-même ne résoudra pas la question du pouvoir, si grande soit-elle, et les classes dont la bataille acharnée devient de plus en plus probable.

Mais si quelqu'un a commencé à construire la puissance de la guerre civile ne sont pas des épisodes sanglants, des nouvelles qui ont atteint commencé à atteindre et aurait fait la conclusion que la dernière étape qui nous sépare de la restauration capitaliste a été adoptée, il aurait commis une grave erreur. Aussi longtemps que nous traitons est pas encore une bataille, dont l'issue décide la victoire d'un côté ou d'une autre, mais seulement avec des arcs de avanpostnymi individuels, dont les résultats à un degré quelconque ne préjuge pas du résultat final et ne pas dire plus en faveur de l'inévitabilité de la guerre civile, mais seulement nous avertir de son potentiel toujours croissant.

Il n'y a pas de contestation, la machine, ou plutôt, sa pointe, mis en place très farouchement. boucher sanguinaire travailleurs Ivanovo Kaganovitch ne s'arrêterait probablement avant d'aller à la pluie énigme plombé plus d'un millier de travailleurs.

Mais, heureusement, cette question ne sera pas décidé entre Kaganovitch. La classe ouvrière de l'URSS, qui est devenu une force révolutionnaire géante, ne baissa la tête avant que les violeurs et, se rendant compte du risque qu'il fait face à une puissante pression va les retirer des mains des armes criminelles utilisées, les priverait du pouvoir usurpé par le prolétariat.

Et la faction centriste au pouvoir n'est pas une masse contre-révolutionnaire monolithique. Et à un moment décisif, il subira une différenciation rapide le long des principaux axes sociaux.

Déjà, ils commencent le regroupement dans des conditions de pression qui préparent l'appareil de désintégration et de la désintégration, privent de solidité et de s'y tenir debout, ainsi que les organisateurs du potentiel coup contre-révolutionnaire qui rôdent, confus, les gens de panique d'esprit qui ont peur de demain.

Seulement cela peut expliquer la double nature contradictoire des activités récentes de la bureaucratie, son hésitants marque en matière de politique économique, il tente de bloquer ses échecs économiques de la nouvelle répression violente de droite et à gauche, dicté par l'espoir vain des classes d'intimidation et de retarder l'apparition du terrible châtiment.

Mais plus l'insécurité et les jets de la direction économique se manifestent, plus la bureaucratie devient sur la voie de la terreur, plus les éléments de la crise politique qui se prépare sont identifiés. Les forces bonapartistes, dictant courageusement leurs exigences, deviennent de plus en plus impudentes dans le pays. Mais le prolétariat s'alarme de plus en plus et devient plus actif sous l'influence de la situation électrifiée qui prépare la tempête. Le trois millionième parti, éliminé comme avant-garde volontaire du prolétariat et enfermant les débuts de deux camps de guerre civile, ne peut rester indifférent à tout ce qui se passe. Son flanc bonapartiste de droite se prépare à mener une contre-révolution. Le flanc prolétarien de gauche du parti, brisé et désorienté, cherche des liens avec l'opposition léniniste, poussée dans le clandestin, ce qui devrait l'aider à trouver sa place à la tête de la classe ouvrière qui entre dans la lutte. Entre ces deux flancs se trouve une masse informe d'éléments intermédiaires, incapables de réaliser la gravité de la situation, incapables d'en tirer toutes les conclusions nécessaires.

Mais les premiers coups de tonnerre ont éclaté, les premiers signes du début de la revitalisation des masses ouvrières ont déjà introduit dans cet environnement le poison de la décomposition. En ce moment, même Zinoviev et Kamenev, qui avaient trahi à maintes reprises la cause du prolétariat, furent à nouveau obligés d'hésiter vers la gauche et marquèrent ainsi le début de la différenciation de la tourbière du parti. Ceux-ci et un certain nombre d'autres signes montrent que le rythme s'accélère, les classes sont entraînées dans la lutte. Que l'orage purificateur de l'indignation prolétarienne, qui seule est capable d'écraser les forces de la contre-révolution latente en train de mûrir, commence à frapper.

En prévision des événements terribles qui arrivent à maturité dans le pays, il est assez utile d'étudier plus souvent et de plus près ces faits distincts qui leur servent de précurseurs, et qui nous signalent que le moment décisif approche. Certes, les informations dont nous disposons sont extrêmement rares. Mais ce que nous savons avec certitude témoigne du passage de la résistance prolétarienne au régime bureaucratique à une nouvelle phase. De la protestation passive sous la forme de la fluidité de masse, de l'absentéisme aux réunions (le vote au talon) - aux formes actives - des grèves et des manifestations, c'est le moyen de revitaliser le mouvement ouvrier. Cela montre que la période de réaction sociopolitique n'a pas réussi à éradiquer de la conscience du prolétariat les formes de lutte auxquelles il est habitué et à travers lesquelles il peut gagner.

Sous la pression de la crise économique de plus en plus profonde, le prolétariat politiquement opprimé est amené à un extrême degré d'appauvrissement. L'exploitation atteint de telles dimensions qu'elle la menace de dégénérescence physique. Mais l'instabilité des conditions de vie est l'un des facteurs les plus importants du développement révolutionnaire et, comme le dit LD, "c'est" déséquilibrer le travailleur le plus calme ". C'est la raison des actions économiques des masses laborieuses. Cependant, le régime existant ne fournit pas un cadre légal pour la lutte économique. Impossibilité de cela et le poussera au développement le plus rapide dans des formes politiques sur ce terrain, la stupeur de réaction deviendra rapidement obsolète: "le sort de la révolution d'Octobre sera décidé par des millions et des dizaines de millions".

Sans aucun doute, le Makeev, Ivanovo et d'autres événements ne sont que les premiers pétrels de la recrudescence révolutionnaire imminente. Mais les premiers flux de sang prolétarien, répandus par les Kaganovich, vont percer et élever à la lutte de nouveaux détachements de la classe ouvrière. Sous la pluie de balles, le mécontentement passif des masses prendra la forme d'une action révolutionnaire ouverte et grandissante.

Comme le rôle historique joué par le massacre du 9 janvier pour la première révolution russe et les événements léninistes pour la recrudescence révolutionnaire de 1912-1914, semblable au sérieux bouleversement que les journées de juillet 1917 ont produit pendant les préparatifs d'octobre - tout aussi sûrement Le massacre d'Ivanovo (dont la date exacte nous est encore inconnue) mobilise l'indignation prolétarienne dans tous les centres industriels de l'URSS. En ce sens, la signification révolutionnaire de cet événement pour le mouvement prolétarien de masse ne peut être surestimée.

Dans les événements Ivanovo et autres, avec lesquels la classe ouvrière prend le chemin de la lutte active pour ses droits, le nouveau est, d'une part, la puissance du mouvement spontané de masse, d'autre part la brutalisation de la bureaucratie qui outrepasse son pouvoir. grévistes.

Ce n'est pas un hasard si les ouvriers d'Ivanovo étaient en avance: c'est l'un des détachements prolétariens les plus avancés du pays, relativement peu affecté par la dilution des nouveaux étrangers et placé dans les pires conditions matérielles et de vie. Les raisons du discours n'étaient, bien sûr, pas petites. Mais la situation alimentaire extrêmement difficile a été le premier élan qui a révélé le mécontentement des travailleurs qui s'était accumulé et lui a donné la forme éprouvée de grèves et de manifestations.

L'économisme spontané qui a embrassé les travailleurs d'Ivanovo est tout à fait naturel. S'étant lancés dans une grande lutte avec leur bureaucratie locale, réduisant les rations prolétariennes, les ouvriers ne s'attendaient guère à ce que l'oligarchie dirigeante, en la personne de l'opritchnik Kazanovitch de Staline, déclare leur protestation contre-révolutionnaire et dirigée contre le pouvoir soviétique.

Et ce n'est que lorsque le gouvernement central a assumé la responsabilité de la fusillade que les travailleurs ont été convaincus par leur propre expérience du lien profond existant entre l'économie et la politique. Cependant, nous sous-estimerions le rôle dilatoire que le temps joue dans le développement de la conscience de masse si nous arrivions à la conclusion que toutes les conclusions politiques ont déjà été faites par la masse des travailleurs. Et, bien que beaucoup se soit accumulé dans les masses de mécontentements spontanés, non formés contre la bureaucratie, mais ils s'organiseront eux-mêmes et consciemment seulement s'il y a une avant-garde énergique et dévouée.

La bureaucratie a une résistance obstinée à activer les masses, en essayant de briser leurs discours dans certaines parties. Par conséquent, il ne peut pas être nié que les événements suivront la séquence qui a été observée dans 17 et plus tôt - dans la révolution de la 5ème année. La méthode des analogies simples avec le processus de développement du mouvement de masse de la classe ouvrière dans les périodes antérieures de son histoire ne peut pas se justifier. Dans les conditions d'un régime terroriste féroce, le mouvement, poussé dans le sous-sol, peut se développer sous des formes cachées jusqu'à ce qu'il perde sous la forme d'une puissante explosion.

Notre tâche est d'accélérer le processus d'enregistrement politique des masses et de faciliter l'attribution ou la lutte contre l'avant-garde. L'opposition léniniste ne remplira son objectif que si elle prend correctement en compte l'importance du facteur subjectif, orientera la lutte des masses, les introduira dans un canal organisé, leur offrira leurs mots d'ordre, qui seuls conduiront les masses sur la bonne voie.

Les événements d'Ivanovo sont confrontés à de nombreuses questions qui font l'objet de conflits dans notre collectif. L'attitude à leur égard est une pierre angulaire de tous nos groupements et de toutes nos tendances, tout comme les événements léninistes de leur temps ont eu une signification énorme pour le parti prolétarien dans le sens de tester son caractère révolutionnaire. A cette époque, les bolcheviks se sont tempérés dans la lutte contre les mencheviks qui, avec de la mousse à la bouche, se sont prononcés contre la «poussée», contre «l'entrelacement» du mouvement économique et politique du prolétariat.

Et maintenant nous devons supporter une grande lutte avec les partisans de la passivité, qui, comme les menchéviks, les liquidateurs de l'époque, affirment d'une part que la lutte économique "pour un pain de blé" ne peut être révolutionnaire et expriment en même temps des craintes pas "compliqué" par des discours politiques.

En copiant nos précurseurs historiques, nos liquidateurs décrivent le mouvement ouvrier comme une force aveugle, spontanée qui peut être tournée dans n'importe quelle direction et qui peut être utilisée pour n'importe quelle aventure comme Cronstadt. Ils dépeignent les dernières actions des travailleurs comme une lutte pour la «liberté du commerce», comme une force poussant Staline à éliminer «les restes créatifs du cours de gauche» et à remplacer le néo-népom. Ils vont encore plus loin, proposant de rechercher la source des forces révolutionnaires du pays non pas dans la classe ouvrière dont ils remettent en question le révolutionnaire, mais dans l'appareil bureaucratique dont les forces connues peuvent, à leur avis, jouer le rôle de «sauveur de la patrie socialiste». En mettant toutes les relations réelles à l'envers, ils agissent comme des étrangers à la bureaucratie dans sa lutte criminelle contre la classe ouvrière.

En attendant, pour tout véritable bolchevik-léniniste, il doit être clair que la seule force révolutionnaire capable de combattre la contre-révolution est seulement la classe ouvrière historiquement formée dans l'hégémonie de la révolution.

Les événements d'été ont joué un rôle majeur dans le temps en consolidant autour du parti bolchevik tous ces éléments révolutionnaires qui, par leur impatience, ont frappé l'ultra-gauchisme, emportés par l'otzovisme, le syndicalisme et d'autres courants radicaux qui les ont écartés du courant prolétarien. lutte politique. Ce n'est pas par hasard que ce fut précisément l'essor de la lutte de classe, qui marqua un tournant dans la performance des ouvriers léninistes, qui conduisit à la liquidation et au dépérissement de tous les courants ultra-gauches et à la concentration de toutes les forces révolutionnaires ouvrières autour des bolcheviks.

Il y a un certain nombre de signes que le mouvement initial dans le pays conduira à l'unification correspondante de tous les éléments véritablement révolutionnaires de notre mouvement, que tous les camarades qui aiment le radicalisme extrême, maintenant, entendent «le rythme mesuré des bataillons ouvriers», mouvement lent, mais ferme et régulier de lourdes réserves prolétariennes. D'un autre côté, les renégats corrompus, les sceptiques sans espoir et les passifs indécis reçoivent une impulsion décisive pour l'autodétermination finale et pour une retraite au-delà de la ligne qui nous sépare de la bureaucratie stalinienne. La recrudescence du mouvement ouvrier conduira inévitablement à ce nouveau regroupement politique dans nos rangs, sans lequel la mobilisation des forces révolutionnaires est impossible.

III. Orientation à la lutte de masse et contre le liquidationnisme.

Aux moments forts de l'histoire, aux moments cruciaux de la montée du mouvement de masse, la direction du mouvement n'est souvent pas à la hauteur de la situation.

La crise du leadership se manifeste par le fait qu'elle traîne derrière la croissance du mouvement, ne comprend pas l'importance des tâches qui se présentent à elle, sous-estime la force révolutionnaire du mouvement. En d'autres termes, la direction s'avère trop faible pour assurer une victoire victorieuse. Et les masses abandonnées à elles-mêmes, ne recevant pas de directives ou ne recevant pas de directives fausses, sont vaincues dès que le parti adverse a l'occasion d'être convaincu de la faiblesse de la direction de la lutte révolutionnaire.

Donc, face à la renaissance naissante dans le pays, notre première tâche est de fournir aux masses l'existence d'une telle avant-garde qui serait capable d'orientation rapide et qui serait suffisamment efficace pour ne pas décimer au moment décisif face au danger. La tâche de créer une telle avant-garde, qui concentre la conscience révolutionnaire et la volonté de la classe, revient essentiellement à recréer le parti à partir de ces éléments disparates mais vivants qui se trouvent dans le noyau prolétarien du Parti et en dehors des couches politiquement conscientes de la classe ouvrière. fête.

Cette tâche de reconstruction du Parti relève naturellement de l'opposition léniniste. Mais l'opposition ne pourra réaliser son objectif que si elle est libérée de toute indécision, de toute hésitation, révélée par une partie de ses cadres en ce moment.

D'où l'importance de la lutte en cours au sein de l'opposition pour une position politique claire, pour une ligne tactique claire. Le processus de différenciation au sein de l'opposition, qui était loin d'être terminé, s'intensifia de nouveau avec l'intensification de la lutte des classes dans le pays. La nouvelle rechute du juste danger dans nos rangs a pris la forme d'une campagne révisionniste plus ou moins déguisée contre les principes de base de notre mouvement.

Nous ne devrions pas surestimer la valeur de nos isolateurs, nous n'allons pas les élever à la classe «avancée de l'avant-garde». Mais néanmoins, nous ne pouvons pas passer par ces processus qui mûrissent au sein de notre collectif. Nous devons nous rendre compte du fait que la découverte notoire du F-va que les staliniens sont devenus l'aile gauche du parti et que l'opposition léniniste s'est transformée en un bloc du centre-droit en cachette n'est qu'une forme plus franche de ce désordre idéologique. Couvre profondément les bons éléments de l'isolateur.

L'exposé le plus complet et le plus cohérent des positions liquidationnistes que nous avons dans les thèses notoires de MB et M et dans les articles des auteurs individuels de ce trio vénérable.

Libérés de l'écueil de la phraséologie radicale, par endroits ultra-gauche, ces thèses nous donnent l'image la plus sombre de prostration politique et de renégat.

En rejetant explicitement la théorie de la révolution permanente, ils rejettent la prémisse fondamentale de cette croissance inévitable de l'activité de combat du prolétariat mondial et défendent la thèse opposée de l'épuisement des ressources morales et physiques du prolétariat et de la possibilité de son retrait seulement sous les assauts de la petite bourgeoisie.

En poussant cette vue que la plate-forme est b / l. a montré son «invalidité historique», ils tentent de prouver que les «problèmes» du camarade Trotsky confrontent tous ses documents antérieurs et orientent l'opposition sur la voie de «reconnaître cela, c'est-à-dire» sur la base de cette construction ».

Cachés derrière le masque de la solidarité avec les conclusions économiques des "Problèmes" et déformant et déformant de toutes les manières l'évaluation de la politique économique du centrisme par le camarade Trotsky, ils prouvent que l'aventure ultra-gauche est "l'étape inévitable de la révolution". résultats Immédiatement, ils essaient de justifier l'idée absurde que l'alliance de la classe ouvrière avec la paysannerie a été reconstruite sur une base nouvelle par le «plan continu» et «plan quinquennal en quatre ans».

Sur toutes les autres questions, les auteurs des thèses ne polémiquent plus avec le camarade Trotsky. sous une forme voilée, mais en le blâmant clairement pour "dogmatisme" et "unilatéral". En même temps, ils attaquent avec la plus grande fermeté la thèse sur la liquidation du parti, prouvant au contraire qu'elle a été restituée à la seule possibilité de la dictature. "

Malgré le fait que le concept semi-menchevik et semi-centrique de M.B. et M. déchire ouvertement avec toutes les attitudes de l'opposition léniniste, parmi nos camarades collectifs, qui sont hostiles à toute tentative de critiquer ce concept. Cela s'explique par le fait que ces camarades eux-mêmes prennent des positions qui ne diffèrent que légèrement de celles de MB. et M. - souvent la seule différence est que les formulations sont données plus caoutchouteuses et vagues, à déchiffrer. L'essence de gauche-centriste d'eux est hors de doute.

Arrêtons-nous, ne serait-ce que sur le système, à une vision développée par MD. La base de ceci est une évaluation incorrecte du rôle de la bureaucratie et du centrisme. L'idée que les contradictions entre la classe ouvrière et la bureaucratie est une «contradiction entre la masse du prolétariat et sa direction bureaucratique» est retenue dans le contexte de la thèse des camarades DL et K. D'où la position que ces contradictions ne sont pas. peut aller au-delà des limites de classe, que la lutte contre la bureaucratie est une lutte intra-classe. Cette position entraîne une évaluation incorrecte des perspectives d'avenir. Camarade. DL ne voit pas que son centrisme réside dans sa renaissance bonapartiste. Par conséquent, il considère que la tâche de la réforme empêche la possibilité de «renverser le centrisme», menée de l'extérieur par les forces de la contre-révolution bonapartiste, sans remarquer le danger pour la révolution qui mûrit au centre même.

Cette inclusion de la bureaucratie stalinienne au sein de la classe ouvrière et l'opposition du centrisme au bonapartisme sont le fondement de la tactique passive prônée par les TJ du prolétariat et de ses partisans et la crainte du déploiement d'un mouvement ouvrier de masse. Dans la politique économique, les erreurs des camarades généraux sont réduites à la négation du rôle de leadership comme facteur indépendant créant et aggravant les crises, à la théorie de l'essor général de l'économie nationale de l'URSS sur la base des politiques centristes, à la nécessité d'un lien entre la classe ouvrière et la paysannerie;de ce déni et de sa lutte acharnée contre le programme de restauration de la NEP de Lénine suit. Enfin, dans le domaine de la politique internationale groupe t. Double couche centrée sur la stratégie en Allemagne et d'autres pays. Les pays, en parlant contre le slogan d'un front uni sous la forme dans laquelle il a proposé t. Trotsky.

Nous n'insisterons pas ici sur les autres erreurs du camarade DL, ni sur ses tentatives de donner une formulation théorique de ses vues, qui est une parodie de la théorie de la révolution permanente.

Nous laissons de côté les points de vue développés par d'autres groupes existants dans l'équipe, qui, d'une manière ou d'une autre, prudemment référer au mouvement prolétarien de masse, en fait une capitulation à la ligne générale de Staline, ils sont prêts à se défendre contre tout centrisme, ne suffit pas, à leur avis, la séquence de son conductrices (voir les états correspondants. VK, l. T-va et al.).

Il est compréhensible que, dans les questions de tactique, tous ces flux se fondent en une seule unité et renégats liquidateurs passivistov contre les partisans « étroits » successifs et irréconciliables ainsi. Trotsky. Bien sûr, cette unité tente de se cacher derrière l'apparence de loyauté envers les principales installations de l'opposition, en le combinant avec une attitude libérale à toutes sortes de déviations dans leur environnement vers le bolchevisme.

Entre l'individu au sein de cette unité sans ressource lancer conciliateurs, annonce toutes les « nuances » vues égal qu'ils sont apparus sur la base de notre organisation et est encore officiellement avec elle ne se dégradent pas. Compte tenu de toutes sortes de différences « non-sens » la conciliatrice annonce des querelles de lutte idéologique générés par « effets personnels », mais en fait non seulement un équilibre entre les groupes belligérants, mais comme cela est toujours le cas avec opportonistami eux-mêmes dans tous les sens de promouvoir la lutte contre les défenseurs réels renégats de la ligne léniniste.

De cette façon, au moment de la crise politique imminente dans le pays, notre équipe est en fait divisé en deux opposés l'un à-autres avec des vues différentes sous-fractions sur la situation dans le pays et les défis de notre mouvement.

Il ne fait aucun doute qu'à l'heure actuelle, lorsque les tâches de la lutte seront mises en évidence, le sujet principal du conflit deviendra de plus en plus des questions de tactique. Ces questions sont décisives dans notre vie introséologique.

Et nous avons ici avec toute la clarté nécessaire pour faire avancer la résolution de ces questions, que nous croyons est obligatoire pour tous les vrais bolcheviks-léninistes. Nous notons tout d'abord catégoriquement toutes les allégations de tom6 que la force motrice de la contre-révolution peut être le prolétariat. Au contraire, l'analyse de la situation dans le pays montre que le chemin de la contre-révolution ne peut être ouverte que de l'échec de mobiliser les forces de la classe ouvrière.

Si l'opposition léniniste au noyau ouvrier du parti n'élève pas et n'organise pas la lutte des masses laborieuses contre la bureaucratie, alors la victoire de la contre-révolution sera inévitable. Toutes sortes d'hésitations et d'indécision dans le déploiement des actions de combat de la classe ouvrière menaceront l'intensification des forces de classe hostiles et la victoire de la pire variante. La question des formes de lutte de la classe ouvrière est également décidée pour nous.

Bien entendu, l'opposition fera tout son possible pour organiser le mouvement d'une manière organisationnelle. Mais si le calendrier s'avère insuffisant, les bolcheviks-léninistes ne doivent pas rester spectateurs passifs: ils doivent se joindre à la lutte pour lui donner le caractère le plus organisé au cours de la lutte.

Aucune grève, aucune manifestation prolétarienne ne devrait rester sans la participation de nos cadres organisés à volonté.

Et à cet égard, nous avons le droit d'appliquer aux conditions actuelles au camarade Trotsky, proférés en 1914 :. « la catastrophe de la critique, il est approprié par rapport aux sections avancées du prolétariat devient une force conservatrice, retient et dissuade les travailleurs, plutôt que de les pousser en avant dès que cette critique se transforme en une condamnation séparée de toutes les grèves de grève non organisées. "

Notre tâche principale dans ces conditions sera - en utilisant encore une fois l'instruction bien connue du camarade Trotsky - "d'amener le plus possible l'unité, la planification, la conscience possible dans la lutte spontanée des masses".

événements décisifs offensifs nous obligent à mettre un bord toutes les questions de tactique, il nous obligera à opposer au front de tous ceux qui se dirigent vers le mouvement de masse, à ceux qui, en même temps que la bureaucratie condamne la classe ouvrière, comme le « Kronstadt ».

En approchant le jour où la puissance des événements nous oblige à séparer amis des ennemis sur cette base, la façon dont ils répondent à la question: avec qui aller - avec la classe ouvrière et la bureaucratie. Et qui aura aucun doute, « et pas si de se méfier des méthodes actives de lutte » - qui est conçu comme un lest dans nos rangs. Pour ce combat, qui commence aujourd'hui, les masses laborieuses pour leurs intérêts vitaux du prolétariat, quel que soit le niveau de conscience politique sont aujourd'hui, - est le seul point de départ d'une victoire possible de la dictature du prolétariat.

Par conséquent, nous soutenons le personnel minoritaire exposée slogan. dans sa circulation a récemment publié (numéro ARC de 27 / X '32): « La lutte des ouvriers pour avoir du pain, contre la politique de la faim est notre lutte! » Il est autour de ce slogan doit se tenir avant ensemble uni de tous les vrais combattants pour la cause du prolétariat.

En fixant aujourd'hui notre objectif pour la lutte contre toutes sortes de massacres, ce qui représente à ce stade le danger le plus immédiat et le plus brûlant pour notre mouvement, nous ne pouvons qu'imaginer sur cette base l'unification et la consolidation de nos rangs possibles.

Si sur le flanc droit du collectif nous avons affaire à une maladie d'indécision sénile, la peur de l'enfant joue un rôle approprié. La condition principale de notre succès est que notre politique soit comprise par les larges masses afin que ces masses assimilent nos slogans et se battent consciemment pour elles. Par conséquent, notre tâche principale, en tant que faction prolétarienne révolutionnaire, est de trouver un chemin concret qui amène les masses qui montent spontanément à comprendre les tâches de classe de leur lutte. Sans que les masses acquièrent leur propre expérience politique, aucune lutte résolue et désintéressée de l'avant-garde ne peut fournir une prépondérance de nos forces.

Cependant, les camarades de la minorité ont souvent avancé des slogans qui montraient qu'ils ne prenaient pas en compte le travail de masse pour clarifier nos points de vue, pour préparer une performance organisée de toute la classe avec son avant-garde.

Nous n'insisterons pas sur l'analyse de toutes nos différences avec le collectif minoritaire et ne nous limiterons ici qu'aux vues les plus erronées qui caractérisent les groupements individuels de ce groupe. Cela inclut surtout la théorie de la négation de la dictature prolétarienne, qui prouve l'existence d'une forme particulière d'Etat - un Etat bureaucratique - comme une transition vers une dictature bourgeoise. Cette théorie implique logiquement la négation de l'attitude tactique à l'égard de la réforme.

Toutes deux reposent sur une sous-estimation du pouvoir de classe du prolétariat, sur la sous-estimation des possibilités de relance de la dictature prolétarienne, et représentent donc une «caricature réactionnaire de la réalité» (LD). Cela inclut la théorie de l'exhaustivité des processus de différenciation dans le parti, que "le stalinisme a cessé d'être un centrisme, parce que le droit n'est plus simplement volé, mais de plusieurs façons déjà dépassé". Nous essayons ici de devancer les événements, alors que la lutte de classe n'a pas encore atteint un tel degré d'aggravation qu'une formation ouverte du parti du coup d'Etat contre-révolutionnaire du parti officiel en deux parties a eu lieu.

Nous devons également noter l'inexactitude de telles attitudes comme la reconnaissance de la politique centriste actuelle dans les campagnes comme une politique de koulak complète, comme une déclaration: que le bonapartisme de la perspective est déjà devenu un fait (T. Avel). Nous devons insister énergiquement sur notre désaccord avec ces points de vue erronés, selon lesquels l'échec de l'aventure ultra-gauche est presque dû à l'impossibilité objective de la construction socialiste (camarade P-l).

Mais peu importe jusqu'où va la nature doctrinaire parfois déviante des déviations de certaines minorités de la minorité de la minorité, il trouve généralement possible, dans ses discours officiels, du moins dernièrement de donner de telles formulations sur des questions controversées, que la discussion sur cela ne semble nullement impossible. C'est ce que prouve, au moins, la rédaction de la "ZPR", publiée il y a quelques jours (au lieu de la première ligne), qui expose son attitude vis-à-vis des principaux problèmes du moment. Malgré le fait que sur certaines questions dans le présent appel sont exprimés peu acceptables pour nous penser que et sans fondement beaucoup d'avoir une réclamation à la continuité exclusive de la ligne historique de l'opposition, et brusquement l'identification du conservatisme institutionnel,la direction générale de ce document indique une convergence significative de la mine de l'île de l'île avec les positions protégées par nous.

Il est le fait que les rédacteurs de « retard mental » au nom de son groupe a publié un document qui a supprimé certaines des questions les plus controversées - et ceci est fait pour que la présentation ne perd pas le caractère réel, mais gagne plutôt contre l'éclairage les plus graves problèmes politiques, - spectacles elle se lance à cause des besoins réels du massy6 du travail qui ne sont pas tous nos arguments sont clairs, en dépit de leur capacité de se déplacer.

Une telle ligne est la meilleure garantie que nos différends seront éliminés au cours du développement d'une lutte de masse. Nous pouvons constater avec satisfaction que l'interprétation donnée par le document crée une question de tactique pour nous des accords commerciaux avec l'équipe minoritaire dans notre lutte commune contre la bureaucratie au pouvoir, et dans la lutte contre liquidationnisme et renégat enroulant un nid au sein de l'opposition elle-même.

Reconnaissant que cela est une étape décisive sur les lignes sectaires doctrinaires extrême, qui a été réalisée en une seule fois un groupe de « WB », nous pensons que de cette manière tous les éléments d'extrême gauche véritablement des bolcheviks-léninistes trouveront la meilleure base pour la consolidation de ses rangs dans une faction puissante , dans lequel notre mouvement a tant besoin maintenant. De cette façon, la création de chose d'avant-garde qui est susceptible de prendre en charge l'organisation des masses, sera grandement facilitée.

IV. En phase avec la classe ouvrière - pour faire face à de nouvelles batailles!

Il ne fait aucun doute que, comparé à la portée colossale des tâches de l'opposition léniniste, ses forces sont négligeables. Il manque encore une base organisationnelle de masse dans la classe ouvrière. Il ne peut toujours pas développer le travail à l'échelle nécessaire pour faire en sorte que sa ligne politique ne soit pas la composante passive de la lutte commune de la classe ouvrière, mais sa principale et principale force.

Avant de nous est toujours utile de la tâche de récupération de rompre les liens dans la classe ouvrière, la tâche - sur la base face à la montée du mouvement ouvrier avec le secteur prolétarien du parti, avec tous les éléments avancés, politiquement conscients de sa classe en vue de déclencher un pod'em planifié tout son poids .

À cette fin, l'opposition promeut la conception politique de tous les groupes d'opposition émergeant spontanément dans le parti et la classe ouvrière. Le mot d'ordre d'unir tous les éléments révolutionnaires du prolétariat pour combattre le stalinisme pour la restauration du parti et de la dictature prolétarienne rassemblera toutes les forces combattantes du communisme autour de l'opposition.

En même temps, c'est seulement en organisant la lutte directe des masses contre la bureaucratie que nous pouvons parvenir à la pénétration profonde de nos organisations dans les masses et à la direction effective de ces dernières dans la lutte pour la dictature. Ainsi, nous devons simultanément influencer à la fois la conscience et la volonté du prolétariat, la vaste propagande et l'agitation de nos idées et de nos slogans, et le forçage mondial du travail organisationnel. Dans la mesure où ils peuvent être liés à l'accomplissement de ces tâches dans le travail de masse, en utilisant chaque extension du mouvement pour approfondir la conscience politique des masses à chaque pas de renforcement de la lutte de masse, nous faciliterons également la victoire décisive sur la bureaucratie.

Bien sûr, le contenu de notre travail parmi les masses est de la plus haute importance dans notre lutte, non seulement du point de vue de sa formulation dans des slogans clairs et corrects. Ces slogans devraient éclairer la masse des buts poursuivis par celui-ci, ils doivent lui indiquer les moyens les plus fiables pour les atteindre. En même temps, ils doivent eux-mêmes être clairement définis sur des slogans de propagande qui ne sont pas encore réalisables dans les conditions qui se sont développées en ce moment et sur des slogans réels, dont la mise en œuvre directe est notre tâche immédiate. Il ne faut cependant pas oublier que les slogans actuels du moment ne sont pas simplement dérivés des slogans de propagande générale de la plate-forme, mais qu'ils sont en rapport étroit avec la situation réelle dans le pays qui peut fondamentalement changer notre politique actuelle.

Par exemple, un slogan commun de la lutte pour la véritable politique prolétarienne de l'industrialisation dans des conditions particulières Le moment, ce sont les politiques centristes extrêmement complexes de l'aventurisme ultra-gauche, prend la forme de la transition entre les taux de slogan « max » excessive à optimale, à savoir le plus avantageux pour la classe ouvrière en termes de ses principaux intérêts, sans s'arrêter avant la réduction partielle de la construction du capital. Juste un mot d'ordre commun de collectivisation des fermes dans le climat d'aujourd'hui est réfractée à un slogan particulier, l'abandon de la politique de collectivisation totale, de mouvement volontaire ferme collective, le slogan d'une sélection rigoureuse et de sauver uniquement les plus viables en bonne santé, en particulier les zones les plus pauvres. Il va sans dire que mettre de tels slogans ne signifie pas du tout,que nous rejetons les vieux slogans d'opposition de l'industrialisation et de la collectivisation. Il montre seulement que nous devons tenir compte des résultats désastreux de la politique stalinienne, et d'offrir un moyen de sortir de la crise, ce qui est sans dispositions transitoires ne sont pas réalisables.

Quant à nos slogans politiques communs à l'Etat et du parti, car ils se concentrent sur une réforme profonde de la dictature du prolétariat, et non de le remplacer par d'autres systèmes - leur mise en œuvre ne nécessite pas un changement radical fondamentaux du régime social établi par la Révolution d'Octobre et la restauration de la règle la classe ouvrière en ramenant les conseils et les syndicats à leurs fonctions normales et en ravivant le Parti communiste. Pour ce faire, tout d'abord, ce qui prive la bureaucratie au pouvoir usurpé depuis le pouvoir du prolétariat.

En d'autres termes, dans ce domaine nous avons essentiellement déployé défendre le slogan de la démocratie prolétarienne, dont la tenue est la condition sine qua non pour la restauration de la dictature du prolétariat en pleine des volumes. Les formes et les méthodes de lutte que nous diffusons parmi les masses ne diffèrent pas des méthodes habituelles de lutte des classes. Le prolétariat qui monte à la lutte ne se limite pas aux moyens. Si les circonstances l'exigent, la grève générale et l'armement du prolétariat (au moins sous la forme de reconstruction du travail des gardes rouges) peuvent devenir les mots d'ordre d'action de masse, parce que même une seule classe ne renonce pas à l'utilisation des moyens les plus extrêmes de la défense et l'attaque.

Le plus pertinent dans la première étape de la lutte doit sans doute avoir un slogan de transition spontanément créé, de réélection en toute sécurité des partis, des syndicats et des hiboux., Les organes de direction, qui peut être la première étape dans le développement de la tactique de l'offensive politique du prolétariat (le mot d'ordre a été mis en avant dans une Thrift Projets section « Tactics » Document collectif en novembre 1931).

En avançant ce slogan partout se pose spontanément la lutte des masses laborieuses, nous insistons donc sur leur la grande importance de l'organisation du mouvement ascendant à un niveau supérieur. Le principal principe directeur de nos slogans est « lutte intransigeante contre le stalinisme et des problèmes politiques et économiques dans la région. » ( « Problèmes ») Une première méthode de mise en œuvre est d'intensifier la lutte de masse.

Mais de l'orientation à la lutte de masse, il est nécessaire de tirer toutes les conclusions politiques et organisationnelles. Nos slogans ne doivent pas être abstraits, ils doivent découler des demandes et des besoins immédiats des masses. Au contraire, tout un système de slogans spéciaux doit être mis en place, avec toute une attitude à l'égard de la concentration des forces révolutionnaires prolétariennes dans le Parti populaire recruté, le syndicat et les organisations soviétiques qui sont restaurés par l'initiative des masses. Ils seront les piliers de notre lutte contre les forces de classe hostiles, qui seront centrées le plus probablement et principalement autour des appareils bureaucratiques. Ce n'est que par la conquête des organisations prolétariennes de masse que l'on parvient à réaliser de façon réaliste l'accomplissement de notre principal slogan politique d'un changement radical de toute la politique internationale interne dans l'intérêt du prolétariat,ce qui est impossible sans un changement dans la direction stalinienne en faillite et traîtresse.

Par conséquent, l'une de nos tâches les plus importantes est la création d'un vaste réseau de nos organisations illégales dans toutes les usines, au sein du parti et les syndicats.

Toute la collection la liste des mots d'ordre assurera le bon développement de la lutte que si elles contenu spécifiquement prolétarien seront complétées par un certain nombre de slogans qui peuvent décomposer le front anti-soviétique dans le village, pour arracher les pauvres de l'influence koulaks croissante et de diriger le grand mécontentement des classes inférieures du village le long du lit de la lutte révolutionnaire pour testé la politique léniniste du lien entre le prolétariat et la paysannerie, avec le soutien que les pauvres.

Le noyau contre-révolutionnaire de l'appareil, ayant perdu le pouvoir sur les masses ouvrières, utilisera tous les moyens pour nous empêcher d'exercer une influence sur les paysans pauvres. Mais ce dernier n'est pas indifférent aux méthodes qui seront utilisées pour liquider l'aventure de l'ultra-gauche, laquelle mesure les concessions de la paysannerie. Par conséquent, nos positions dans le village ne sont en aucun cas sans espoir. Nous ne devons pas seulement expliquer la production agricole. les ouvriers, mais aussi les couches les plus importantes de la paysannerie, que l'opposition léniniste n'a jamais succombé aux feux de la collectivisation complète, n'a jamais été infectée par les illusions de l'élimination des koulaks par des méthodes administratives.

Cela dépend de nous-mêmes dans quelle mesure nous serons capables de réaliser ce capital de confiance non découvert qui est établi dans les larges couches des masses laborieuses par notre lutte inconciliable contre le stalinisme. Nous pouvons compter sur une certaine opportunité d'acquérir des alliés dans le village. Les slogans de l'organisation des syndicats des pauvres et de l'arrêt de la tyrannie bureaucratique dans les campagnes (dans l'intérêt des masses laborieuses) conservent toute leur signification et acquièrent aujourd'hui une force particulière.

Insistant sur ces mots d'ordre par le fait que nous rejetons également à la fois l'aventure « solide », et l'affaire de la bureaucratie avec la contre-révolution koulak au détriment de la classe ouvrière - nous sommes en même temps ne peut ignorer la tâche de neutraliser serednyachestva par des slogans appropriés, fournissant une ligne sur la relance économique du village. Le thème directeur dans ce sens est le mot d'ordre de la liaison avec la paysannerie, qui sera l'ambiance politique est aussi l'un des éléments clés de nos contrôles politiques.

la politique économique réelle qui satisfait le but d'établir des relations normales entre le prolétariat et la paysannerie est la ligne sur la fermeture de l'industrie avec s.hoz. prix (ainsi que nationaux et internationaux) et de stabiliser les pièces d'or.

Pour tout ce qui conserve toute la valeur précédente notre vieux slogan de la collectivisation, traduit, comme mentionné ci-dessus, la ligne des paysans pauvres amateurs. Telle est la politique de classe correcte impliquant des paysans volontaires collectivisation forcer exemple d'affichage étapes très avancées de grande production artisanale, plutôt que la pression administrative, l'Etat prolétarien conservera un effet régulateur sur la production agricole et aller à un dépassement prévu des forces du marché et le renforcement de l'économie planifiée.

Ce n'est que par une telle politique, reliant leur lutte pour le socialisme au développement du village, que le prolétariat pourra renforcer sa dictature à un niveau plus élevé, en atténuant les contradictions sociales, en améliorant l'état de santé du prolétariat et des masses ouvrières. seulement sur le plan international, plus précisément sur la scène mondiale.

Il ne fait aucun doute que dans toute politique léniniste, même la plus cohérente dans le domaine de la question paysanne, les dangers provenant de l'élément petit-bourgeois menaceront le développement socialiste de l'Etat prolétarien.

Mais les dangers découlant de l'aventure de Staline, qui assomme complètement la masse paysanne de l'ornière économique et la privent de l'équilibre politique, sont infiniment plus sérieux et immédiats. Par conséquent, la liquidation de l'aventure ultra-gauche doit être développée dans une série de slogans réels qui déploient devant les masses ouvrières le programme complet de nos propositions économiques, qui sont associées à nos revendications politiques.

Deviner les perspectives et les chances de victoire, même avec les indicateurs les plus favorables du renouveau politique, serait complètement inutile. Pour nous, une chose doit être claire: sans surmonter les énormes difficultés de la nature organisationnelle de l'opposition léniniste, il ne sera pas possible d'assurer la victoire de la ligne prolétarienne. Mais ces difficultés ne sont pas insurmontables, nous pouvons et devons les surmonter.

Avec le camarade Trotsky, nous sommes convaincus que la classe ouvrière, au moment de la recrudescence, trouvera toujours la force de créer une organisation réunissant toutes les couches aptes au combat de la classe pour une action unique et active. Peu importe comment les liquidateurs et les renégats calomnient le prolétariat, mais il commence déjà à étendre progressivement ses membres engourdis.

Face à la crise politique imminente, nous n'avons aucune raison de manifester de l'inquiétude et de l'impatience. Avec la retenue révolutionnaire et la confiance, nous préparerons nos armes pour les batailles à venir. Et que les forces contre-révolutionnaires attendent aussi dans l'expectative avant le moment décisif qui approche. Le prolétariat ne leur permettra pas de se retourner pour infliger un coup révolutionnaire écrasant. Si la bureaucratie a encore assez de forces militaires et de toute autre force pour réprimer impitoyablement la résistance grandissante du prolétariat, alors tous les faits montrent que cela va bientôt prendre fin.

En prévision des événements à venir, l'opposition léniniste doit unir ses rangs, y surmonter toute hésitation et vacillation, et, accueillant la vague de colère prolétarienne imminente, exercer toutes ses forces pour rendre la nouvelle lutte aussi consciente, soutenue et stable que possible. Sur notre bannière, il sera écrit:

Pour la suppression de la direction stalinienne usurpatrice!

Pour la défaite de la contre-révolution en pleine maturation!

Contre les défenseurs de la politique bureaucratique: capitulateurs, renégats et liquidateurs!

A bas les privilèges de la bureaucratie!

Tout le pouvoir à la classe ouvrière!

Pour la restauration de la dictature du prolétariat sur une base plus élevée, en assurant une augmentation permanente du rôle dirigeant du prolétariat dans l'Etat!

Pour la politique des taux optimaux d'industrialisation, assurer une augmentation du niveau de vie du prolétariat et des travailleurs!

Pour la démocratie ouvrière dans le parti, les professeurs et les conseils!

Pour armer le prolétariat - contre la contre-révolution bonapartiste!

Pour élever le niveau de vie de la classe ouvrière!

Pour avoir organisé les unions des pauvres et pour la politique de l'accord prolétarien avec le paysan moyen!

A bas la «collectivisation léniniste», authentique et continue, de Staline, fondée sur l'initiative des paysans pauvres et des ouvriers agricoles, et leur alliance avec la paysannerie moyenne!

Pour limiter les revendications d'exploitation des koulaks et contre le programme Ustryalov-Boukharin de NEO-NEPA!

Vive le lien rapide de notre révolution avec la révolution prolétarienne mondiale!

Les résultats de la 4ème réunion plénière du CD et de la CBI du PCUS (b)